Nombre total de pages vues

2/27/2018

Ghardaïa : découvertes de trois gisements d'art rupestre à l'Oued-Laroui


Trois nouveaux gisements d’art rupestre datant de la période préhistorique ont été découverts dernièrement et fortuitement dans la commune de Berriane (45 km Nord de Ghardaïa), a appris dimanche l’APS auprès de la direction de la culture de la wilaya.
Ces gisements qualifiés "d’importants" par des archéologues et autres spécialistes en préhistoire et art rupestre ont été mis au jour par des jeunes scouts de la région lors d’un bivouac dans une zone désertique à une trentaine de kilomètres à l’est de Berriane, près de l’Oued-Laroui, a précisé Mohamed Alouani chargé du patrimoine à la direction de la Culture.
De nombreux Tumulus et des ateliers de fabrication d'outillages en silex et en calcédoine ainsi que de l’outillage préhistorique composé de pointes, de racloirs et de grattoirs, ont été trouvé dans ce site, a fait savoir M. Alouani.
Par ailleurs, des gravures et dessins, des objets en pierre et silex ainsi que des monuments funéraires atypique à la région du M’zab ont été également retrouvés dans différents endroits, affirme le même responsable.
Cette nouvelle découverte, auxquelles s’ajoutent d’autres découvertes effectuées dans la région durant l’été 2013 et qui témoignent, selon les spécialistes, de l’existence d’une vie humaine dans la région depuis des milliers d’années, restent en quête d’intérêt pour l’épanouissement d’un tourisme culturel et scientifique.

2/26/2018

La ville de Tiaret a besoin d’un nouveau théâtre régional


Le directeur des journées du théâtre réaliste de Tiaret, Mohamed Yeddou, a précisé, en marge de la manifestation, que la ville de Tiaret a besoin de son propre théâtre régional, insistant, par ailleurs sur la levée du gel sur ledit projet.

M. Yeddou a révélé, d’autre part, que ce dernier permettra de libérer l’activité théâtrale et artistique dans la région, ajoutant que : «cela, aussi permettra l’émergence de nouvelles capacités en talents prometteurs qui vont, par conséquent consolider l’avenir du théâtre à Tiaret». Mohamed Yeddou, affirmera, dans le même courant d’idées que : «ce nouveau projet donnera, sans aucun doute, un nouveau souffle au mouvement d’action culturelle, notamment théâtrale dans notre pays» 
Evoquant le mouvement théâtral dans la région, notre interlocuteur a précisé que la ville de Tiaret regorge de jeunes comédiens qui veulent s’investir dans le théâtre : «le rôle du 4e art consiste à apporter une réalité de la vie sociale du citoyen et il peut dévoiler l’image réelle de la société», a-t-il dit. A propos du rôle des premières journées nationales du théâtre réaliste de Tiaret, organisées du 21 au 25 février prochain à la salle «Casino» de Tiaret, M. Yeddou a affirmé que l’objectif escompté à travers cette manifestation est de découvrir les potentialités artistiques des jeunes et aussi, de découvrir et faire connaître les textes et les auteurs qui ont contribué au développement du théâtre réaliste : «Ces rencontres permettront l’épanouissement artistique dans la région et aussi, le développement des échanges artistiques entre les troupes théâtrales participantes et la public», a-t-il ajouté, dans ce sens. «Cette première édition nationale qui vient après deux éditions locales précédentes constituera une plateforme d’échange et un incontournable espace de rencontres d’autant plus que nous voulons créer une dynamique théâtrales plus approfondie dans la région», a-t-il poursuivi. M. Yeddou a précisé, encore que 6 troupes théâtrales prennent part à cet événement culturel et d’ajouter que des conférences-des débats et un atelier de formation seront initiés durant ces journées.

De notre envoyé spécial à Tiaret : Mehdi Isikioune

JSM Tiaret: Une avance rassurante



Grâce à sa très précieuse victoire ramenée de l'extérieur face à la lanterne rouge du championnat de l'inter-région groupe Ouest et profitant de la défaite inattendue, faut-il le dire, du dauphin, le CR Témouchent, à Ain El-Hadjar, l'équipe phare des Hauts-Plateaux de l'Ouest, la JSMT, creuse l'écart en le portant désormais à quatre points. Une avance importante pour une équipe de la JSMT qui, faut-il le rappeler, n'a pas perdu le moindre match cette saison. 

Il faut toutefois reconnaître que l'équipe chère au président Hadj Feghouli a vraiment sué pour ramener cette victoire, puisque le deuxième but de la JSMT a été inscrit dans le temps additionnel (90+3'). Le manager général, Djillali Rahim, estime que rien n'est encore joué. «Certes, c'est une avance appréciable qui va certainement nous galvaniser davantage, mais tout de même, je dirai que rien n'est encore joué et que le championnat est loin d'être terminé. 

Il faut s'attendre à des surprises et c'est pour cela que je demande aux joueurs de fournir beaucoup plus d'efforts pour maintenir cette dynamique, car notre concurrent ne va certainement pas baisser les bras et va tout faire pour revenir. 
Pour ma part, j'ai un seul objectif dans ma tête : assurer cette accession pour la dédier spécialement au président, car il faut dire aujourd'hui que c'est grâce à lui que l'équipe marche bien», conclura notre interlocuteur. 

Tiaret - Redevance sur la musique : des chauffeurs de taxi en colère



La décision de l'Office national des droits d'auteur et droits voisins (ONDA) de soumettre les taxis à une redevance sur la musique fait jaser. 

En effet, les nombreuses sociétés de taxis et exploitants particuliers de véhicule-taxi ne cachent pas leur courroux de se voir «ponctionner» juste parce «nous écoutons de la musique tout en transportant nos clients», tempête Larbi, l'un des plus anciens chauffeurs de taxi sur la place de Tiaret. 

Selon le directeur général de l'ONDA, M. Sami Bencheikh El-Hocine, «les taxis qui embarquent cinq ou six personnes et leur mettent de la musique se doivent de payer, parce qu'ils sont soumis légalement à une redevance de droits d'auteur». 


Mais les chauffeurs de taxi se rebiffent et dénoncent un «moyen détourné» de leur soutirer de l'argent dans une conjoncture des plus difficiles, avec l'augmentation des prix des carburants, la vignette automobile payable avant fin mars ou encore la quête désespérée d'une pièce de rechange à bon prix et surtout de bonne qualité. 

2/25/2018

Tiaret : Les origines et l’histoire du cheval de Barbarie



Les origines et l’histoire

Déjà appelé cheval de Barbarie par les auteurs romains il y a plus de 2000 ans, le Barbe a toujours été élevé par les tribus nomades de la Lybie, du Maroc, de la Tunisie et de l‘Algérie. Il quitta très tôt les pays du berceau de la race pour rayonner en Italie, en Espagne et en France.
Physiquement très endurant, le Barbe sait s’adapter, comme il l’a prouvé depuis des siècles, à différents type de situation et de climats. 
Il a longtemps été, et ce depuis l’Antiquité, le cheval des militaires. Il sera également celui des rois de France, d’ailleurs le barbe a été le cheval de dressage de Louis XIII.
Le Barbe ne fait certes pas partie des géants, mais sa réputation en tant que père d’autre races est presque aussi grande que celle du Pur Sang Arabe.
L’apogée du Barbe commença avec la domination de l’Islam. En 800, les Maures apportèrent en Espagne un grand nombre de leurs chevaux, qui s’accouplèrent avec les races locales pour donner les Andalous.
En 1662, l’épouse de Charles II d’Angleterre apporta la ville de Tanger dans sa dote. 
La passion de ce roi pour les chevaux entraîna l’introduction de nombreux Barbes en Angleterre, en vue d’augmenter la rapidité et l’endurance des races locales. Ainsi, ce petit cheval du Nord Africain fait partie des ancêtres du Pur Sang Anglais.
Monture des spahis, la résistance du cheval Barbe a permis de remporter la bataille d’Uskub, qui mettra fin à la guerre 1914 à 1918.
L’Association Française du Cheval Barbe  « AFCB », en collaboration avec les Haras Nationaux  et sous l’égide de l’Organisation Mondiale du Cheval Barbe « OMCB », gère le Stud Book depuis 1989.


La morphologie et le caractère

Le Barbe fait preuve de fermeté dans le caractère, il n’est absolument pas peureux et a le pied sûr. Il est courageux et son assiette est très souple. Son excellent mental et sa capacité à apprendre étonneront et séduiront plus d’un cavalier.
Il y a trois types types principaux :
Le Barbe des plaines du littoral,
Le Barbe des montagnes,
Le Barbe des hauts plateaux et de la limite nord du Sahara.
On le trouvera plutôt alezan et gris en Tunisie, plutôt gris en Algérie, plutôt gris et bai au Maroc avec toutes les variantes de ces familles de robe.
Il a des sabots plutôt petits, cylindriques et durs, des canons courts, un dos court parfois tranchant, une croupe en pupitre et une encolure courte.

L’élevage

Une quarantaine d’éleveurs font naître chaque année des chevaux Barbes et Arabes Barbes dans de nombreuses régions de France.

L’utilisation

Le Barbe est utilisé sous la selle et également à l’attelage. C’est un cheval de sport, d’endurance, d’obstacle, de dressage, de Polo et de TREC.

Il n'existe plus de chevaux sauvages sur Terre



Il n'existe plus de chevaux sauvages sur Terre ont annoncé jeudi des chercheurs, une découverte basée sur une nouvelle analyse ADN qui redessine l'arbre généalogique de la famille de ces équidés.
Il s'est avéré que ceux que l'on croyait être les derniers chevaux à l'état sauvage de notre planète 
- les chevaux de Przewalski - étaient en réalité des animaux domestiqués ayant échappé à leurs propriétaires, selon cette étude publiée dans la revue Science.
"C'était une énorme surprise", a confié Sandra Olsen, co-auteure de l'étude et conservatrice à l'institut de la biodiversité et du musée d'histoire naturelle de l'Université du Kansas.
"Cela signifie qu'il n'y a plus de chevaux sauvages sur Terre --et c'est ça qui est triste", s'est-elle désolée.
L'étude se base sur des recherches archéologiques menées sur deux sites au nord du Kazakhstan, Botai and Krasnyi Yar, où les scientifiques ont découvert des preuves d'une domestication du cheval datant d'il y a plus de 5.000 ans. Les chercheurs internationaux ont séquencé les génomes de 20 chevaux de Botai, en utilisant notamment des dents et des os exhumés sur les sites.
En les comparant à des génomes déjà connus de chevaux modernes et anciens, les scientifiques ont découvert que les équidés de Przewalski descendaient en réalité des chevaux de Botai, les équidés domestiqués connus les plus anciens. 
Une découverte inattendue qui signifie que les chevaux de Przewalski n'étaient pas sauvages à l'origine.
Ces révélations sont "super intéressantes" confie à la presse Beth Shapiro, professeure d'écologie et de biologie évolutive à l'université de Californie de Santa Cruz.
Et Mme Shapiro, qui n'a pas participé à l'étude, d'ajouter: "Remplacer le mot +sauvage+ par +naturel+ est un changement sémantique qui pourrait mieux refléter leur évolution historique mais ne devrait pas changer leur statut. Nous devrions continuer à protéger les chevaux de Przewalski comme une population de chevaux sauvages".
L'équidé de Przewalski est une espèce menacée selon l'Union internationale pour la conservation de la nature. 
Découverte au XIXème siècle en Mongolie par l'explorateur russe Nikolaï Przewalski, l'espèce a subitement connu une forte popularité en Europe, au point que les chevaux ont été abondamment capturés pour alimenter les zoos du Vieux continent.
Plusieurs programmes de réintroduction ont été mis en place depuis que l'espèce a été éteinte dans la nature dans les années 1960.
Cette découverte mène à un nouveau défi, résumé dans le communiqué du CNRS français: "L'origine des chevaux domestiques modernes doit être recherchée ailleurs".

2/24/2018

TIARET La santé scolaire et universitaire au centre des débats


La santé scolaire et universitaire a été  le thème d'une rencontre organisée dernièrement par la direction des œuvres universitaires de l’université Ibn-Khaldoun de Tiaret. Initié dans le cadre de la semaine maghrebine de la santé scolaire et universitaire, le coup d’envoi de cet événement a été abrité par la cité universitaire Sellami-Eddine de Karman, appelé communément  Karman 3. 
Pour l’occasion, plusieurs intervenants, dont le directeur des œuvres universitaires, des cadres de la santé publique et ceux de la Protection civile, se sont adressés à un important parterre composé d’étudiants et travailleurs du secteur, notamment ceux impliqués directement dans le volet de la restauration. “Se laver soigneusement les mains et bien se brosser les dents pour se prémunir contre d’éventuelles maladies d’origine alimentaire”, était le sujet principal sur lequel se sont focalisés les intervenants. 
Dans ce sillage, les professionnels de la santé publique ont insisté principalement sur la prévention et l'éducation sanitaire tout comme ils ont mis en relief la carie dentaire, cause de dommages irréversibles aux dents. 
Dès lors, sa prévention, son dépistage et son traitement, seront, ont-ils soutenu, au cœur des débats de cette semaine maghrebine. “Non seulement la carie peut causer des douleurs et des extractions de plusieurs dents, mais elle est aussi une source d'affections bucco-dentaires qui retentissent parfois gravement sur l'état de santé général et la qualité de vie des personnes”, rappellent les spécialistes. 
Dans le même sillage, il a été noté que la maladie carieuse est classée par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) au troisième rang après les affections cancéreuses et les maladies cardio-vasculaires, selon les intervenants. 
Les maladies bucco-dentaires partagent les mêmes facteurs de risques que les maladies non transmissibles à savoir le manque d'hygiène bucco-dentaire, les habitudes alimentaires, le surpoids et le tabac. 
Cependant, nos interlocuteurs ont souligné qu’en Algérie, la prévalence carieuse chez les enfants scolarisés âgés entre 5 et 15 ans a atteint presque 55%  et le manque d'hygiène bucco-dentaire est de plus de 45%. “La prévention demeure le moyen le plus adéquat pour faire face aux problèmes de carie dentaire. 
Une bonne hygiène bucco-dentaire avec un brossage régulier des dents au moins deux fois par jour, la réduction de la consommation de sucreries et des consultations régulières chez le dentiste sont préconisées pour une bonne santé bucco-dentaire”, ont-ils rappelé pour conclure.
R. SALEM

Tiaret : Les chiens errants sèment la panique dans la ville


Ils se cachent le jour pour ne sortir que la nuit et gare à celui qui aura la malchance de les rencontrer sur son chemin. A la vue des humains, les aboiements s’enclenchent, l’attaque se prépare et aussitôt commence le « massacre ».
Seule la fuite à toutes jambes pourrait sauver « le gibier humain» providentiel de la meute en furie. 
Les citoyens n’en peuvent plus, particulièrement ceux habitant ou devant passer à proximité des décharges et des bacs à ordures, où abondent les restes de nourriture, lieu de rendez-vous privilégié des chiens, chats et autres animaux nés de croisements entre chiens, chacals et renards. 
Ces bêtes errantes sont un danger permanent pour les humains. 
Que peut bien faire un citoyen face à une meute de canidés en mal de nourriture sinon se faire lacérer mordre ou tuer. Heureusement pour la plupart des victimes d’attaques de canidés des hommes se sont trouvés là par hasard, ou attirés par les aboiements des chiens et autres grognements et hurlements à faire dresser les cheveux sur la tête. 
Des dizaines de personnes ont été mordues par ces bêtes très souvent enragées. Il y a si peu, dans une des communes du sud de la wilaya de Tiaret, un troupeau de moutons avait été victime d’une attaque de chiens enragés et toutes les bêtes mordues ont dû être enterrées car porteuses du virus de la rage. 
Les battues organisées par les communes, comparativement au nombre de chiens errants demeurent insignifiantes, surtout lorsque l’on sait que les femelles mettent bas plusieurs petits à la fois, d’où leur multiplication accélérée dans les périphéries des agglomérations et même dans les artères des villes. 
Ces bêtes ne craignent plus les hommes. Aussi, seules des battues périodiques peuvent mettre fin à l’errance de ces animaux, autrefois amis de l’homme, devenus sauvages, parce que abandonnés par leurs maîtres.
Tous les P/APC sont unanimes quant à la nécessité d’organisation de battues périodiques pour mettre fin à ce fléau mais tiennent à préciser que pour de telles opérations, il leur faut de grandes quantités de cartouches que malheureusement ils n’ont pas dans leurs armureries. 
La wilaya, chargée de fournir les communes en cartouches, ne satisfait que partiellement les besoins de ces dernières et ne leur octroie que deux ou trois cents cartouches, un nombre insignifiant comparativement au nombre de chiens errants « se promenant » à travers les champs, les forêts et les rues des agglomérations. 
Combien de chiens peut-on tuer avec une centaine de cartouches ? 
Faut-il encore que les chasseurs chargés de la battue soient de bons « viseurs » ? 

Journée internationale de la langue maternelle : Emission d’un nouveau timbre-poste


Algérie Poste (AP) a procédé mercredi à l’émission d’un nouveau timbre-poste commémoratif d’une valeur faciale de 25 DA, à l'occasion de la journée Internationale de la langue maternelle, célébrée cette année sous le thème "Préservation de la diversité linguistique dans le monde et promotion du multilinguisme en vue de réaliser les objectifs de développement durable", indique un communiqué d'AP.
La vente anticipée de ce timbre-poste est prévu ce mercredi et demain jeudi dans les 48 Recettes principales d'Algérie Poste, situées au niveau des chefs-lieux de wilaya, alors que la vente générale est prévue samedi 24 février 2018, à travers tous les bureaux de poste, précise la même source, ajoutant qu'une enveloppe "1er Jour" sera mise en vente au prix de 7 DA avec une oblitération 1er Jour illustrée. La Journée internationale de la langue maternelle a été proclamée par la Conférence générale de l'Organisation des Nations-unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO) en novembre 1999, en hommage au peuple Bengali, et célébrée chaque année depuis le 21 février 2000 afin de promouvoir la diversité linguistique et culturelle ainsi que le multilinguisme. L’Algérie qui s’est engagée à appliquer toutes les conventions relatives à la préservation et la promotion de la diversité culturelle et linguistique, célèbre chaque année la journée internationale de la langue maternelle.

2/22/2018

Ain kermès : Coupures itératives de la connexion et chutes de débit d'Internet


Les internautes vivent un véritable calvaire à cause des fréquentes coupures de connexion . 
Les internautes du chef-lieu de Ain kermès et plus particulièrement la cité populaire vivent un véritable calvaire à cause des fréquentes coupures de connexion et autres chutes de débit. 

Ainsi, les abonnés ADSL rencontrés s’estiment lésés par la qualité, jugée médiocre, de la connexion Internet. 
En effet, selon eux, depuis le mois des mois, de nombreux dysfonctionnements de la connexion ont été enregistrés, notamment pour les abonnés de la formule Fawri. 
 Ces derniers temps, la connexion est catastrophique! Tout au long de la journée, mon modem cesse carrément de clignoter. 
Au départ, j’ai cru que c’était lié à une éventuelle défectuosité de ma ligne téléphonique, mais il n’en était rien , dira Samir, un résident du quartier de Si Boucif .
D’autres abonnés ont fait état des mêmes perturbations et assurent qu’ils ont l’impression de se faire escroquer. Du côté des gérants des cybercafés, on crie déjà au scandale. 
Certains d’entre eux, , considèrent que les services d’Algérie Télécom, et plus précisément l’Actel , se moquent d’eux.  
On est allé se plaindre auprès des services concernés. 
Mais le chargé de la maintenance nous a carrément envoyé promener, en nous signifiant que le problème venait de nos lignes téléphoniques. 
Puis il nous a orientés vers le service technique », ont-ils déclaré d’un ton désabusé. Dans le but d’avoir de plus amples renseignements à ce sujet, contact a été pris avec le chargé de maintenance de ladite agence commerciale. 
Ce dernier a avoué, à demimots, l’existence de « petits problèmes » de connexion.

2/21/2018

Ain kermès ; : A quand, les bacs à ordures ?



Les résidents de la Cité de Hai El Chouhada mitoyen de ceux de la CNEP, continuent à souffrir le martyre, à cause des désagréments, provoqués par la présence d’une benne à ordures, située en face de leurs logements, qui est constamment en flammes, à longueur de journée et jusque tard dans la nuit. 
Cette benne, qui tombe en ruines, est la réserve de nourriture de toutes les vaches du quartier, qui s’y donnent rendez- vous, pour compléter leur repas, en déchiquetant les sachets à ordures à belles dents, éparpillant toutes les ordures sur le trottoir et la chaussée. 

Les balayeurs du coin, pas du tout convaincus de leur rôle, ignorent superbement tous ces détritus qui jonchent le quartier, se contentant de ramasser les…mégots et autres kleenex. Cette benne providentielle, est une aubaine pour tous ceux qui entreprennent des travaux dans leurs logements, qui ne se gênent nullement d’évacuer leurs déchets, constitués de gravats et autres, l’encombrant à ras bord. 
Et il se trouve toujours quelque pyromane, qui viendrait y mettre le feu, transformant le quartier en un gigantesque en fumoir, avec des fumées suffocantes qui obligent tous les résidents, à garder hermétiquement closes leurs fenêtres. 
Pour mettre un terme à tout ce charivari, les résidents supplient instamment les responsables concernés, de les débarrasser de cette benne à ordures et la remplacer par des bacs à ordures en plastique, comme cela s’est fait ailleurs.

Villes algériennes du futur, les urbanistes en quête du bon schéma

Comment construire des villes écologiques compatibles avec le développement durable en ayant comme objectifs l’éradication de la pauvreté et de la marginalisation, la promotion des espaces verts et la diversification des formules d’accès au logement ? C’est à toutes ces questions que des experts algériens et internationaux ont tenté de répondre au cours des travaux du séminaire sur "la ville algérienne face aux enjeux et défis du développement durable" qui s’est tenu mardi, à Alger, à l’occasion de la journée nationale de la Ville.
Les défis sont incommensurables, d’autant que plus de 70% de la population algérienne vit dans des villes dont une grande partie a connu une urbanisation anarchique.
«Les axes principaux de la politique de la ville aspirent à fournir davantage d’efforts pour le développement urbain durable, en étroite collaboration avec les élus locaux, les partenaires sociaux et la société civile », a souligné le ministre de l’Habitat de l'Urbanisme et de la Ville, Abdelwahid Temmar pour qui le logement reste une priorité. « Nous avons pour défi de fournir aux algériens un logement décent, conformément aux recommandations des Nations Unis », a-t-il précisé. 
Pour Temmar, les nombreux experts et acteurs du secteur, « devront arrêter une démarche commune pour travailler ensemble sur la ville du futur et s’inscrire dans la vision mondiale avec des spécificités algériennes, à horizon 2030 ». Pour y arriver, il faut tenir compte, selon lui, de plusieurs facteur, notamment les limites administratives, l’éradication de la pauvreté et de la marginalisation et diversifier les formules d’accès au logement, selon les attentes et les capacités de chaque individu de la société. « Il est également question de prendre soin des personnes aux besoins spécifiques, promouvoir les espaces verts, exploiter le patrimoine culturel des villes et encourager les villes intelligentes », a-t-il ajouté.
Il est également important, a ajouté le ministre, de doter la politique de la ville d'un plan d'action permettant de prévoir la croissance démographique rapide avec tout ce qu'elle implique comme besoins du citoyen en termes de sécurité et de protection ainsi que ses besoins fondamentaux en matières de santé, d'habitat, d'enseignement et de moyens de loisirs.
La vision prospective de la ville, poursuit Temmar, nécessite l'implication de l'ensemble des acteurs à commencer par l'administration locale, représentée par les walis et les élus, les intellectuels, les professionnels, les experts et les opérateurs en charge de la gestion de la ville, outre la société civile et les associations activant dans le domaine, qui doivent jouer -a-t-il dit- un rôle efficace et complémentaire dans ce sens.
Quatre ateliers portant sur les thématiques: "Politique de la ville: le cadre juridique face aux nouveaux enjeux et défis", "Gestion intégrée de la ville: vers une bonne gouvernance urbaine", "Ville intelligente, écologique et résiliente: concepts et faisabilité" et "Economie urbaine: management et mécanismes de financement pour le développement durable des villes",   ont proposé, lors de cette journée, des recommandations sur lesquels le ministère va arrêter une feuille de route avec les différents départements ministériels.
Le ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l'Aménagement du territoire , Noureddine Bedoui,a, pour sa part, rappelé l’engagement du président de la République dans la concrétisation du Plan d’action du Gouvernement, qui comprend la réforme du cadre légal et réglementaire de la politique de la ville, l’amélioration du tissu urbain à travers la restructuration architecturale des villes, la réhabilitation urbaine et l’encouragement de l’investissement privé dans la construction des nouvelles infrastructures et pôles urbains.
Noureddine Bedoui a, dans ce sens, annoncé que 10 communes administratives ont été élevées au rang de wilayas déléguées pour créer une dynamique économique, culturelle et sociale. « Nous comptons également revoir les disfonctionnements en milieu urbain et répondre aux attentes des habitants et aux exigences de la croissance économique », a-t-il ajouté. Il est alors primordial, a souligné Bedoui, de persévérer dans la réforme urbaine et la réhabilitation des villes, d’autant que la population vivant dans un milieu urbain atteindra 80% à horizon 2030.
«Nous devons améliorer le système financier et fiscal pour que les collectivités locales puissent effectivement assurer leur rôle économique et créer de la richesse pour le développement économique », a-t-il indiqué, ajoutant qu’il faut passer par la réforme de l’ingénierie urbaine et dispenser des formations qualifiantes dans les nouveaux métiers de la ville et du marketing local. «Ces formations seront désormais dispensées à l’Ecole Nationale d’Architecture de la Ville, qui sera inauguré en septembre prochain, à Alger », a-t-il annoncé.

Intégrer la composante humaine dans le modèle de développement
Lors des séances plénières, Christian De Portzamparc a présenté ses deux projets pour la réalisation des nouvelles infrastructures du parlement et du Palais de la Présidence. Il a également mis l’accent sur l’importance de la restructuration urbaine et la réhabilitation des villes.
Aziz Belkhatir, expert-consultant dans l’urbanisme (environnement et risques), a par la suite exposé la stratégie des Objectifs du millénaire pour le développement (OMD) et l’intégration des composantes socio-environnementales et humaine dans le modèle de développement.
Le professeur émérite à l’Ecole Polytechnique d’Alger, Chems Eddine Chitour, a plaidé pour une transition multidimensionnelle vers le développement humain durable, qui « pourvoit l’utilisation d’énergies propres et renouvelables en faveur de la santé sociale et le développement économique ».
La journée nationale de la Ville a été décrétée par la loi 06-06 sur l’urbanisme et la ville. Elle entre dans le cadre du programme des Nations Unies pour les établissements humains (ONU-Habitat), visant l’évaluation des progrès réalisés par les Etats membres , depuis la tenue de la conférence internationale sur le logement et le développement urbain durable à Quito en octobre 2016.
Walid Souahi

DAS de Tiaret : Plus de 3000 faux handicapés débusqués à Tiaret



Rien ne semble échapper à certains opportunistes pour gagner de l’argent sans trop suer. 

C’est ainsi, que lors de l’assainissement du fichier des handicapés pour le prochain mois de Ramadhan, la direction de l’action sociale a pu débusquer à travers les listes, plus de 3000 faux handicapés !


Certainement, l’opportunisme n’a épargné aucun secteur et depuis l’installation de M. Kadda Benammar, à la tète de la direction de l’action sociale, plusieurs dysfonctionnements et avatars ont été mis sous veilleuse et en application des directives du ministère ainsi que les instructions du wali visant à l’actualisation des listes des familles démunies. 

En prévision du mois de Ramadhan, le Directeur de l’action sociale nous a informés que plus de 3000 faux handicapés ont été débusqués depuis le lancement de l’opération d’assainissement des listes et l’actualisation du fichier et à ce titre, la dite opération a permis de récupérer quelque 15 milliards de cts pour le trésor public puisque le chiffre réel des handicapés et plus particulièrement après leur passage devant la commission de contrôle médical a été revu en baisse passant de 25.000 à 21.000 handicapés et de même pour les familles démunies, le chiffre a largement baissé  allant de 78.000 à 69.000 familles comme il convient de signaler que 10.000 contrats DAIP ont été gelés et 11 milliards de cts ont été récupérés au trésor public puisque les bénéficiaires recevaient des indemnités dans d’autres programmes, nous a indiqué le Directeur qui ajoute que certains handicapés étaient en possession de 3 cartes et percevaient les pensions dans d’autres programmes tout à noter que selon une source proche du ministère de la solidarité nationale, «Réflexion" et en exclusivité a appris que la tutelle a instruit aux autres wilayas du pays à suivre les procédures d’ assainissement entamées par la direction de l’action sociale de la wilaya de Tiaret. 

LOGEMENTS A TIARET : Affichage d’une liste de 864 bénéficiaires



Les listes des 864 bénéficiaires de logements viennent d’être livrées publiquement après des attentes qui ont trop duré et officiellement ces attentes trouvent des explications très logiques eu égard à beaucoup de dysfonctionnements qui faudrait-il le rappeler ne se sont dissipés que grâce aux interventions très musclées du wali de Tiaret, M. Bentouati.




Ce mardi et à seulement 24 heures de la célébration de la journée nationale du chahid à laquelle les habitants de la ville de Ksar-Chellala,tiennent beaucoup de respect et d’honneur, eu égard au passe de cette ville qui a accueilli en son espace des sommités historiques ainsi que de grands responsables de la lutte armée à ne citer comme exemple que Saad Dahleb, l’auteur du livre «Mission accomplie" et l’un des grands négociateurs des accords d’Evian, cette journée a fait vibrer cette ville historique qui vient de renouer avec un grand rendez-vous où les murs  de presque toutes les rues et ruelles de cette ville sont devenues de grandes escales des dizaines de citoyens venus pour voir leurs noms. 
En effet, les listes des 864 bénéficiaires de logements viennent d’être livrées publiquement après des attentes qui ont trop duré et officiellement ces attentes trouvent des explications très logiques eu égard  à beaucoup de dysfonctionnements qui faudrait-il le rappeler ne sont dissipés que grâce aux interventions très musclées du wali de Tiaret, Mr Bentouati qui a pu livrer presque 6.000 logements sociaux en l’espace de 5 mois épargnant quelque 30.000 personnes des griffes de la précarité, du désarroi et surtout des divers problèmes, et dans le même contexte plusieurs familles à Frenda, Sougueur et dans d’autres communes attendent impatiemment l’affichage des listes comme il y a lieu de signaler que d’autres familles vivent dans des conditions critiques dans certains bidonvilles situés dans les périphéries des communes à l’exemple des 12 familles dans la cité "Echarra" de Tiaret et à ce titre, le chef de daïra de Tiaret en compagnie de son staff a déployé des efforts gigantesques pour assainir les listes de centaines d’opportunistes et a pu effacer de grandes plaies qui ont défiguré le lustre de la ville, à  l’exemple de la cité "Khaldaoui Abdelwaheb où près de 200 familles ont été relogées dans des habitations offrant un bon cadre de vie. Notons enfin qu’aucun incident n’a été signalé lors de l’affichage des listes à Ksar-chellala et que les voies de recours sont ouvertes aux citoyens qui se sentent lésés comme a tenu à indiquer le wali lors de ses différentes interventions. 

Pour rappel, c est pour la première fois que ce nombre de logements sociaux a été distribué à Ksar-Chellala depuis l’indépendance. 

2/18/2018

Ain kermès - W-Tiaret: Manque d’investissement à Ain kermès


Ain kermès , est une des plus importantes localités de Sud de la wilaya Tiaret qui tait ses maux et s’enferme sur elle sans perspectives économiques. Son économie n’a jamais pu se promouvoir car elle est victime de son manque de stratégie.
Cette Daïra de Ain kermès recèle de potentialités capables de propulser la localité à un rang digne de sa vocation historique. 
Une région militante qui a marqué son passé glorieux par le sang de ses chouhadas. Ain kermès la glorieuse par ses enfants aux sacrifices indélébiles rate le coche du développement économique. Ain kermès est resté cloîtrée dans ses souks à l’ancienne comme si l’investissement industriel ne lui est pas adaptable. 
Dans la Daïra de Ain kermès il n’ ya pas presque aucun projet porteur d’espoir pour un taux de population jeune trop élevé que la moyenne. 
L’espoir pour les milliers de jeunes étudiants sortants de l’université est illusoire car le chômage a pris place à Ain kermès. 
Les diplômés du CFPA galèrent sans visibilité aucune. Une inquiétante situation pour des jeunes sans horizons, des jeunes rongés par l’amertume du néant .La population de Ain kermès est une population, confiante qui va en masse aux urnes, à chaque échéance électorale à la recherche de l’espoir. Il convient de se questionner sur ce manque flagrant des investissements dans la localité. 
L’équation est toute faite, s’il n’y a pas de travail pour les jeunes c’est qu’il n’y a pas d’entreprises de production. Dans les années quatre vingt- dix il y a eu la création d’une ZAC (zone d’activités) de 10 lots, mais par dés-internement et par défaut de visions, elle a été détournée de sa vocation. 
L’investissement productif est inexistant et le chômage des jeunes est alarmant. Il va falloir que les élus locaux et nationaux, en collaboration avec l’administration, coordonnent leurs efforts afin de créer de promouvoir l’investissement dans la région. 
Dans une région où 75 pour cent de la population a moins de 30 ans, le manque d’opportunités d’emploi offre de moins en moins d’alternatives à une partie de la jeunesse qui finit par basculer ou dans la délinquance de toute formes .
A Ain kermès ont doit travailler sur un plan d’investissement spécial qui servirait à donner un essor à l’économie. Ceci encouragerait la consommation et servirait aussi à préserver les petits commerces qui tendent à disparaître. La dernière visite d’une commission de l’APW s’est justement penchée sur toute cette problématique du chômage de masse chez les jeunes. 
Car les élus ont eux aussi conscience que la stabilité de la région reposerait sur la diversification des investissements pourvoyeurs de postes d’emplois. On ne peut être de Ain kermès et avoir un emploi, c’est incommodant.

2/17/2018

TISSEMSILT: Vers la réalisation de plusieurs projets d’envergure


Dans un objectif visant l’amélioration et le développement des conditions de vie des citoyens de la wilaya de Tissemsilt, plusieurs projets d’envergure sont en cours de réalisation à travers l’ensemble des communes de la wilaya et ce, dans le cadre des programmes de développement local initiés par les pouvoirs publics pour la promotion de cette région de l’Ouarsenis, a indiqué récemment le wal.
Bientôt la wilaya de Tissemsilt sera reliée à l’autoroute Est-ouest à cours terme, par le dédoublement des routes nationales N°14 et 19, ainsi que la livraison des projets de lignes ferroviaires Tissemsilt-Boughezoul (139 km) et Tissemsilt-Tiaret-Relizane (185 km). L’impact de cette modernisation et d’amélioration des routes dont la finalité est le bien être de la population de la région de l’Ouarsenis et du Sersou, pour les conditions de transports et des échanges commerciaux dans la wilaya et le désenclavement de la région Est/ouest et Nord/sud et création d’un axe structurant de développement régional. 
Cet important effort consenti par l’Etat en faveur du bien être du citoyen de la wilaya de Tissemsilt et directement pour le développement de sa wilaya, a été une aubaine pour la wilaya pour désenclaver la wilaya de Tissemsilt et lui donner les moyens de communication avec le reste du pays. «Que nous avons approuvé de nombreux projets d’investissement dans la wilaya, cet effort de création de richesse et d’emploi». M.Abdelkader Benmessaoud a déclaré que grâce aux multiples investissements du secteur privé qui seront concrétisés, la wilaya sera «leader» dans l’agriculture de montagne.
Il a ajouté que la région a bénéficié d’importants projets d’investissement. 
La wilaya de Tissemsilt enregistre l’investissement par ci par là, comme c’est le cas d’une usine de production de poteaux électriques, une unité de production de produits pharmaceutiques et médicaments ainsi que un hôtel thermal à Sidi Slimane, qu’un complexe d’industrie automobile est projeté dans la wilaya de Tissemsilt à Sidi Mansour dans la commune de Khémisti et une unité de fabrication de pâtes alimentaires, couscous et de produits agroalimentaires à Khémisti. Par ailleurs, des titres de concessions ont été remis aux investisseurs venus de divers horizons du pays, pour développer l’industrie, l’agriculture et le tourisme. 
Les autorités de la wilaya tablent sur l’investissement comme priorité en ouvrant le champ devant des promoteurs désirant investir dans la région a-t-on souligné. M.Abdelkader Benmessaoud a déclaré que grâce aux multiples investissements du secteur privé qui seront concrétisés, la wilaya sera «leader» dans l’agriculture de montagne.
La wilaya de Tissemsilt dispose de paysages exceptionnels faits de 65% de montagnes et un patrimoine forestier imposant, peuplé d’une faune et d’une flore exceptionnelle. 
Elle dispose aussi des circuits touristiques et des sources thermales renommées. Par ailleurs, la wilaya de Tissemsilt, met à la disposition des investisseurs plusieurs atouts, entre autres divers avantages qu’accorde la loi sur l’investissement. 
Les investisseurs disposeront des installations de base à la charge de l’État. 
Des conditions adéquates sont réunies pour encourager les investisseurs potentiels et des instructions sont données aux services concernés pour activer l’étude des dossiers et simplifier les démarches. D’autre part, la wilaya de Tissemsilt recèle des atouts naturels lui permettant de devenir une importante destination en matière de tourisme thermal et de montagne. Les efforts de développement soutenus, s’inscrivent dans le cadre de l’amélioration du cadre de vie de la population locale, estimée à 348.000 âmes, la prise en charge de leurs préoccupations et la valorisation de ses atouts et de sa vocation agropastorale .
Par ailleurs, un guide “touristique pour vanter les potentialités de la région de l’Ouarsenis”, initié par les services de la wilaya, se veut une action concrétisant le programme tracé par le wali de Tissemsilt, pour développer et promouvoir le secteur touristique de cette région, réputée pour son parc national des cèdres à Theniet El Had, sa forêt d’Ain Antar ainsi que ses sources thermales de Sidi Slimane a-t-on souligné de même source.

Soulignons, que l’ouvrage met également, en relief le grand potentiel dont dispose la wilaya dans le domaine du tourisme historique et religieux, en présentant des monuments historiques remontant à des civilisations lointaines qui se sont succédé sur la région, en plus des monuments religieux tels que la mosquée Bilal Ibn Rabah au chef-lieu de la wilaya. 
Le guide présente aussi les sports aquatiques et de montagne que Tissemsilt pourrait abriter dans ses espaces naturels attrayants à l’instar du barrage Koudia Rosfa dans la commune de Beni Chaib, la région de Bin El Kiffan à Boucaid et la forêt d’El Meddad à Theniet el Had. Sidi Slimane, commune située à 65 km au Nord-est de Tissemsilt, table essentiellement sur ses potentialités thermales pour s’assurer un développement harmonieux. Dans ce sens, cette collectivité a bénéficié de nombreuses actions destinées à promouvoir et valoriser ses atouts touristiques.

Il est prévu la réalisation de structures supplémentaires d’accueil des curistes et d’autres actions d’aménagement des salles. Certaines de ces structures remontent à la période coloniale. Cette collectivité locale œuvre à créer un office du tourisme pour faire connaître aux touristes locaux ou nationaux les potentialités que recèle Sidi Slimane en matière de tourisme de montagne, thermal et écologique. 
La commune de Sidi Slimane recèle huit sources thermales dont un forage d’un puits d’exploration de 400 mètres avec un débit de 40L/S contre 03L/S d’eaux riches en composants minéraux à une température constante de 42 degrés Celsius, connues pour leurs vertus thérapeutiques, notamment en ce qui concerne le traitement des maladies articulaires, de la peau et les inflammations intestinales dont les travaux ont été achevés. Selon une étude réalisée en 2008 par la Direction du tourisme, les eaux sources thermales de cette région contiennent 17 éléments comme le calcium, le bicarbonate, le chlore, les sulfates. Il est à noter que cette station thermale attire chaque année entre 70.000 et 80.000 curistes et visiteurs venus des wilayas du pays à l’instar de Chlef, Alger, Tipaza, Tiaret, Mostaganem, Ain Defla, Djelfa, Médéa et Oran.
Les services des forêts de la wilaya de Tissemsilt, envisagent de concéder 7 forêts récréatives sur une superficie de 326 ha, durant cette année en cours, pour qu’elles soient exploitées par des particuliers. Il s’agit des forêts de Boucaid (Ain Antar) sur une superficie de 70 ha, à Khémisti (Ain Tlemcen) sur une superficie de 20 ha, à Béni Chaib (Ain Yachir) sur une superficie de 33 ha et à (Oued El Matmour) sur une superficie de 101 ha, à Theniet El Had (Garb El Magtouna) sur une superficie de 10 ha, à Bordj Bounaâma (Sidi Amar) sur une superficie de 60 ha et à Lazharia (Koudia) sur une superficie de 20 ha. Elles seront équipées et dotées d’infrastructures de loisirs et des services dont les visiteurs et touristes ont besoin.
Dans le même contexte, la Conservation des forêts de la wilaya de Tissemsilt a réservé un espace de 29 nouveaux périmètres d’autorisation d’usage à travers 12 communes dont la daïra de Theniet El Had (8 périmètres), la daïra de Lardjem (4 périmètres) et la daïra de Bordj Bounaâma (17 périmètres), pour la plantation fruitière sur 95 ha, l’élevage apicole sur 524,45 ha, greffage oléastre sur 165 ha, l’élevage cynégétique sur 10 ha et l’exploitation des plantes aromatiques et médicinales (lentisque) sur 10 ha. Le wali de Tissemsilt, a appelé les jeunes et les investisseurs à s’orienter vers l’investissement au niveau des mini zones d’activités qui ont été créées en 2017 dans des communes de la wilaya. 
En vue de développer le secteur économique privé dans la wilaya, des zones d’activités sont proposées dans les communes de Khémisti, Bordj Emir Abdelkader, Lazharia et Laâyoune au titre des orientations de révision des PDAU de la région. M. Abdelkader Benmessaoud, a insisté sur l’esprit d’initiative pour créer des micro-entreprises au niveau des mini zones d’activités en adéquation avec les spécificités de chaque région.
La meilleure solution pour les jeunes, est de créer des micro-entreprises au niveau de ces zones d’activités, par le biais des dispositifs d’emploi mis en place par l’Etat dont l’ANSEJ, la CNAC et l’ANGEM ou se diriger vers des entreprises productives du secteur économique a-t-il estimé. M. Abdelkader Benmessaoud a appelé également, à encourager les capitaux à investir dans des projets en vue d’apporter une valeur ajoutée à l’économie locale et nationale et générer des emplois au profit des jeunes. 
Dans ce contexte, il a indiqué que plusieurs projets d’investissement ont été lancés à Tissemsilt, Sidi Slimane, Khémisti, Theniet El Had devront générer, une fois entrés en service, des emplois dans le secteur de l’agriculture, d’autres dans l’industrie ainsi que dans le tourisme.
Mohamed Achraf

TISSEMSILT : Le projet du port sec refait surface



Il y a près de cinq ans, l’annonce de la projection d’un projet d’un port sec en complémentarité avec le projet ferroviaire a été accueilli avec une grande appréhension tant ce projet était comme une clé qui allait ouvrir la porte aux investisseurs et au développement local et vu que ce port sec se pose en complément du travail aux ports à flot de la région ouest mais aussi et surtout en véritable alternative à la construction de nouvelles infrastructures trop lourdes à Tissemsilt.



Un avantage qui met en évidence aussi bien la grande importance de ce projet que le rôle primordial du transport ferroviaire dans la relance du développement local.  

Les mêmes sources ajoutent que le site était déjà choisi au niveau de la sortie ouest de la ville de Tissemsilt, il a été prévu même qu’il sera traversé par le chemin de fer au niveau du douar des Ouled Hella, à l’époque.  

L’étude de cet itinéraire avait prévu le passage par ce projet du port sec, le dépôt de carburants Naftal, le marché des fruits et légumes, le complexe Couvertex, la zone de la nouvelle ville, la zone des activités considérées comme des passages obligés d’autant que cette voie sera réservée dans une première étape au transport de marchandises. 

Maintenant et après tant d’années passées, ce projet semble être un mort-né, aucun responsable ou élu n’avait osé dépoussiérer ce dossier, tout le monde en parle à l’exception des responsables, même si ça n’a été qu’une étude faite à la hâte et ce n’était qu’un projet pour la consommation, sa portée, son importance et son impact sur la wilaya seront probablement les plus grands et les plus performants de nos jours.  

Les mêmes sources de l’époque nous avaient précisé que ce futur port sec devant faire de la wilaya de Tissemsilt un véritable pole économique sera construit sur une superficie de près de 250 hectares et réceptionnera les marchandises en provenance des différents ports relativement proches tels ceux de Mostaganem, d’Oran et de Ténès sachant que cette dernière qui n’est distante que de 120 kilomètres seulement sera prochainement reliée à la ville de Tissemsilt par un projet de dédoublement de la RN 19. 

Enfin, sachant que l’actuel wali est très entreprenant et ayant une vision futuriste pour le développement de la wilaya, tout un chacun des habitants souhaite que ce projet ne tombera pas à l’eau à l’image du complexe de préparation des équipes nationales de Teniet El Had qui n’a pas vu le jour malgré que cette partie de la wilaya offrait toutes les caractéristiques qui lui permettaient d’accueillir un tel projet.

A.Ould El Hadri

Tiaret: Les barrages , le niveau de remplissage appréciable.



A la faveur des dernières chutes de neige et importantes précipitations, les barrages de la wilaya de Tiaret connaissent un niveau de remplissage appréciable. 

En effet, selon M. Ghouzi Med Refassi, chef de service à la direction des ressources en eau, le barrage de Benkhada, principal pourvoyeur en eau potable de la ville de Tiaret et plusieurs localités environnantes connaît un niveau de remplissage de près de 30 millions de m3 sur une capacité de 45 millions de m3 alors que les prévisions météorologiques annoncent de la pluie jusqu'au mois d'avril prochain. 

Selon le même responsable, le barrage de Dahmouni, exclusivement destiné à l'irrigation de larges périmètres agricoles, dispose de plus de 17 millions de m3 d'eau, surtout avec la création de nouveaux périmètres agricoles tout autour du barrage. 

A la plus grande satisfaction de la population locale, la wilaya de Tiaret connaît une amélioration notable en matière d'approvisionnement en au potable, en attendant l'arrivée d'importantes quantités d'eau de la station de dessalement d'El Macta pour alimenter tout le nord de la wilaya. 

Tiaret: Randonnée à la découverte de la Promenade des bois a Tiaret



L'association «Essalam El Akhdar» pour la protection de la nature et de l'environnement de la wilaya de Tiaret organise aujourd'hui (samedi) une randonnée pédestre, destinée à la découverte de Dame Nature et la promotion de l'écotourisme. 

En effet, cette grande balade d'oxygénation qui prendra le départ du parc d'attraction et de loisirs implanté en plein milieu de la magnifique pinède de la forêt des pins fera un long détour par la « Promenade des bois » en cours d'aménagement jusqu'à la jumenterie de Chaouchaoua. 

De nombreux amoureux de la nature participeront à cette randonnée, comme des étudiants africains à l'université « Ibn Khaldoun », la corporation des médecins du secteur public ou encore des représentants de la conservation des forêts. 

Les randonneurs, tout en découvrant la magnifique « Promenade des bois » qui surplombe le col de Guertoufa culminant à plus de 1100 mètres d'altitude, le plan d'eau qui trône majestueusement sur la vallée de Oued Lilli jusqu'au haras national de Chaouchaoua. 
A noter que la « Promenade des bois» aménagée sur une piste de plus de 10 kilomètres sera confiée en concession et a fait l'objet d'un appel à manifestation d'intérêt aux éventuels investisseurs et un cahier des charges vient d'être confectionné, selon M. Ghouzi Med Reffassi, président de l'association « Essalam El Akhdar »