La ferme éolienne de Kabertène (wilaya d’Adrar) de production d’électricité constitue un modèle réussi en matière d’exploitation des énergies propres et renouvelables, estiment les responsables locaux du secteur de l’Énergie. Implanté dans la zone de Kabertène, sur le territoire de la commune de Tissabit (80 km Nord d’Adrar), ce projet, fruit d’un partenariat algéro-français et premier du genre à l’échelle nationale, est une station expérimentale représentant un modèle réussi en matière d’exploitation de l’énergie éolienne pour la production de l’électricité. Dotée d’une douzaine d’éoliennes, installées sur la base d’études techniques et de terrain, tenant compte des courants de vents qui caractérisent la région, cette centrale assure une production alternative propre et renouvelable de 10 mégawatts d’électricité, intégrée au réseau électrique pour le renforcement des capacités d’alimentation en énergie de la wilaya d’Adrar. La centrale a fait l’objet d’une série d’études et de recherches pour les scientifiques, chercheurs et universitaires du pays et de l’étranger, à travers l’organisation de rencontres et de visites de terrain à cet ambitieux projet pour s’enquérir de l’expérience de la wilaya d’Adrar en matière d’exploitation des énergies renouvelables et ses perspectives prometteuses dans le développement durable. Le projet en question vient renforcer huit autres stations implantées à travers le territoire de la wilaya d’Adrar en vue d’atteindre une production énergétique de 50 mégawatts, selon les responsables locaux du secteur de l’énergie.
L’éolien, une bonne place dans le programme des énergies renouvelables
L’exploitation de l’énergie éolienne occupe une bonne place dans le programme national des énergies renouvelables, avec une contribution de production de 5 des 22 gigawatts projetés comme objectifs du programme, a souligné le directeur de l’unité de développement de la recherche en énergies renouvelables en milieu saharien d’Adrar (UDRER-MS), Pr. Messaoud Hamouda. La première éolienne installée durant la période coloniale (1953) dans la zone de Ouled-Aïssa, près d’Adrar, a conféré à la wilaya la première place en matière d’expérimentation de ces énergies renouvelables, a rappelé le même responsable, avant de souligner que la région constitue, au regard de l’immensité de son territoire et de ses spécificités climatiques, un pôle national « par excellence » en matière d’exploitation de l’éolienne, vu la fréquence des vents dans la région, et dont la zone de Kabertène fait partie. Le directeur de l’unité DRER-MS a, dans ce cadre, appelé à mettre en valeur la performance énergétique de ces régions par le lancement d’études techniques et scientifiques sur le terrain, à commencer par la mise en place d’une station météorologique chargée de la collecte, à l’instar du projet de la ferme de Kabertène, des données précises sur les moyennes annuelle et saisonnière de la vitesse des vents. Pour M.Hamouda, l’intérêt que revêt la ferme de Kabertène dénote de ses capacités de production énergétique, 10 mégawatts, une production que de grands laboratoires universitaires du pays n’ont pu atteindre (à peine 5 MW).
L’exploitation de l’énergie éolienne occupe une bonne place dans le programme national des énergies renouvelables, avec une contribution de production de 5 des 22 gigawatts projetés comme objectifs du programme, a souligné le directeur de l’unité de développement de la recherche en énergies renouvelables en milieu saharien d’Adrar (UDRER-MS), Pr. Messaoud Hamouda. La première éolienne installée durant la période coloniale (1953) dans la zone de Ouled-Aïssa, près d’Adrar, a conféré à la wilaya la première place en matière d’expérimentation de ces énergies renouvelables, a rappelé le même responsable, avant de souligner que la région constitue, au regard de l’immensité de son territoire et de ses spécificités climatiques, un pôle national « par excellence » en matière d’exploitation de l’éolienne, vu la fréquence des vents dans la région, et dont la zone de Kabertène fait partie. Le directeur de l’unité DRER-MS a, dans ce cadre, appelé à mettre en valeur la performance énergétique de ces régions par le lancement d’études techniques et scientifiques sur le terrain, à commencer par la mise en place d’une station météorologique chargée de la collecte, à l’instar du projet de la ferme de Kabertène, des données précises sur les moyennes annuelle et saisonnière de la vitesse des vents. Pour M.Hamouda, l’intérêt que revêt la ferme de Kabertène dénote de ses capacités de production énergétique, 10 mégawatts, une production que de grands laboratoires universitaires du pays n’ont pu atteindre (à peine 5 MW).
Les énergies renouvelables, accompagnatrices des activités économiques
L’énergie réalisée à partir de sources éoliennes permettra d’accompagner les activités économiques, dont l’agriculture et le tourisme, dans la mesure où elle est utilisée en tant que source hybride tout comme l’énergie solaire, a indiqué le même responsable. La hauteur des éoliennes (équipements) installées dans la région demeure le moyen approprié pour le développement des activités agricoles dans les régions enclavées, car ces équipements seront ainsi protégés contre les actes de vandalisme ou de vols, en plus de la préservation de l’environnement et la concrétisation du développement durable à même de contribuer à l’amélioration des conditions de vie des futures générations. Hassen Bekhedda, opérateur économique activant à Adrar dans le domaine de l’exploitation des énergies renouvelables, estime que son unité a réalisé une grande avancée dans l’exploitation de l’éolienne pour devenir une réalité palpable dans le quotidien des Adraris, grâce à ses opérations d’équipement de nombreux forages et puits des ksour en équipements hybrides utilisant l’éolien et le solaire. Ces procédés ont fait preuve d’efficacité, à considérer les commandes croissantes émanant d’institutions et opérateurs économiques d’Adrar pour ce type d’équipements, représentant un signe fort encourageant pour le développement de la production et l’extension de cette activité prometteuse, a-t-il confié.
L’énergie réalisée à partir de sources éoliennes permettra d’accompagner les activités économiques, dont l’agriculture et le tourisme, dans la mesure où elle est utilisée en tant que source hybride tout comme l’énergie solaire, a indiqué le même responsable. La hauteur des éoliennes (équipements) installées dans la région demeure le moyen approprié pour le développement des activités agricoles dans les régions enclavées, car ces équipements seront ainsi protégés contre les actes de vandalisme ou de vols, en plus de la préservation de l’environnement et la concrétisation du développement durable à même de contribuer à l’amélioration des conditions de vie des futures générations. Hassen Bekhedda, opérateur économique activant à Adrar dans le domaine de l’exploitation des énergies renouvelables, estime que son unité a réalisé une grande avancée dans l’exploitation de l’éolienne pour devenir une réalité palpable dans le quotidien des Adraris, grâce à ses opérations d’équipement de nombreux forages et puits des ksour en équipements hybrides utilisant l’éolien et le solaire. Ces procédés ont fait preuve d’efficacité, à considérer les commandes croissantes émanant d’institutions et opérateurs économiques d’Adrar pour ce type d’équipements, représentant un signe fort encourageant pour le développement de la production et l’extension de cette activité prometteuse, a-t-il confié.