A peine sauvé des griffes des commerçants informels et autres cafetiers, restaurateurs, voici que le citoyen se trouve pris dans l’étau d’une autre mauvaise habitude devenue banale pour tout le monde tant elle s’est installée dans de nombreuses villes depuis quelques années et il l s’agit évidemment du stationnement des véhicules, particulièrement celui des voitures de particuliers, qui est devenu anarchique dans les centres urbains de la wilaya de Tiaret. Vu le nombre impressionnant du parc automobile toujours en hausse et ce à travers les 42 communes de la wilaya ainsi que l’insuffisance du nombre de parkings sécurisés, non ceux des « Mtarguis », les automobilistes affluant de toutes les directions sont contraints de garer leurs véhicules tout au long des boulevards prolongeant les routes, bloquant tout mouvement pour les piétons même devant leurs habitations.
De ce fait , les exemples sont nombreux au niveau des grands centre urbains de Tiaret , Sougueur , Frenda , Ksar-Chellala , Ain kermes …notamment au niveau des grandes institutions étatiques : hôpitaux , palais de justices , mairies , banques ; les sièges de ces administrations souvent implantés tout au long des principaux boulevards de ces villes . Ainsi, le problème du parking est devenu un vrai casse-tête et pour ces institutions et pour les citoyens désirant se rendre à l’une de ces directions parce que les espaces de stationnement et de parking accompagnement ces anciens sièges datant de l’époque postcoloniale n’ont pas été prévus ; ce qui cause chaque fois des problèmes et des embouteillages aux citoyens véhiculés.
Pourtant, il semble apparemment et à long terme que cette situation semble ne pas inquiéter les responsables des grands centres urbains précités.
Ce phénomène en pleine expansion continue de gêner la circulation routière. Ces stationnements anarchiques et « débrouillards » bloquent le passage, notamment, lorsqu’il s’agit des différents accès, sachant que certains établissements publics sont concentrés au niveau de ces grands boulevards sans toutefois, songer à les doter de lieux de parking.
Quant aux aires privées de stationnement créées ça et là et «gardées» par les jeunes au gourdin, leur capacité ne dépasse pas quelques places. Enfin, il est peut-être temps de songer à trouver une solution à ce problème pour le bien être de tous évidemment.
S.Moumen
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