Lors de l’inauguration de la stèle érigée à la mémoire de l’ex- ministre de l’Interieur et des Collectivites locales, Ahmed Medeghri, connu sous le nom de guerre de Si-Houcine le Moudjahid, un wali des années de plomb, en l’occurence M. Nedjadi Mohamed E-préfet d’El-Asnam et ex-officier de l’ALN de zone 6 de la Wilaya 5 et aussi officier du MALG, a fait des révélations fracassantes. «Le défunt Ahmed Medeghri n’a pas été assassiné mais probablement mort suite à un arrêt cardiaque», selon ses dires contenus dans la lettre qu’il avait lu devant une forte assistance en présence du wali Louh au moment de l’inauguration de la statue de Si-Hocine marquée aussi par l’absence de ses proches amis de Saida.
Dans son livre qu’il a fait paraître il y a de cela presque un mois, avant la commémoration du 63ème anniversaire de la Révolution Algérienne, il dit dans la page 26 que le défunt était en désaccord avec feu Ahmed Draia, directeur général de la sûreté nationale durant cette époque où il le positionne comme étant un subordonné du défunt ministre de l’Intérieur et les anomalies du système avaient fait de Ahmed Draia, un membre du Conseil national de la révolution au même titre que son ministre de tutelle et les deux personnalités avaient le grade de commandant à l’issue de la guerre de libération. Puis le défunt président Boumedienne avait élevé Ahmed Draia alors civil au grade de colonel ce qui apparemment était l’expression de l’arbitrage, donc de sa préférence, lit-on dans le livre. Plus bas dans la page, nous lisons encore: «acculé, abandonné par tous, une situation devenant ipso-facto avec la carrière politique, Ahmed Medeghri a connu un déclain irréversible et inéxorable laissant présager sa fin prochaine». Après sa mort dans des conditions mystérieuses, comme l’ont avancé certaines personnes proches du père de l’Administration algérienne, «sa mère voulut récupérer son corps pour organiser ses funérailles, elle a eu une rencontre pathétique avec le président Boumedienne qui lui a répondu que Si Hocine avait servi la révolution et qu’à ce titre, il appartient à l’Algérie d’organiser ses obsèques et son corps doit se reposer au carré des martyrs d’El-Alia».
En conclusion, L’ex-wali d’El-Asnam, Mohamed Nedjadi, connu sous le nom de guerre de Mokrane, lève le voile, dans ce manuscrit, dont une copie est en notre possession, que Medeghri est mort tragiquement et une commission d’enquête avait été désignée pour déterminer les circonstances de sa mort après examen de son cadavre et cette commission fut présidée par le ministre de la Santé de cette époque, le Dr Omar Boudjelab qui aurait pu aisément et sans inconvénient, soulager la conscience du peuple en révélant les véritables causes de la mort de Ahmed Medehri.
Le destin en a décidé autrement puisque le Dr Omar Boudjelab, aujourd’hui, décédé, a emporte son secret dans sa tombe.
Quoi qu’il en soit, les morts ne vous diront rien. On se fait vieux et le souvenir s’alourdit… Chacun de nous à un pan d’histoire caché dans le coeur et dans la mémoire…en peril. Et les martyrs hantent beaucoup d’esprits de nos jours… Gloire à nos glorieux Chouhadas.
Dans son livre qu’il a fait paraître il y a de cela presque un mois, avant la commémoration du 63ème anniversaire de la Révolution Algérienne, il dit dans la page 26 que le défunt était en désaccord avec feu Ahmed Draia, directeur général de la sûreté nationale durant cette époque où il le positionne comme étant un subordonné du défunt ministre de l’Intérieur et les anomalies du système avaient fait de Ahmed Draia, un membre du Conseil national de la révolution au même titre que son ministre de tutelle et les deux personnalités avaient le grade de commandant à l’issue de la guerre de libération. Puis le défunt président Boumedienne avait élevé Ahmed Draia alors civil au grade de colonel ce qui apparemment était l’expression de l’arbitrage, donc de sa préférence, lit-on dans le livre. Plus bas dans la page, nous lisons encore: «acculé, abandonné par tous, une situation devenant ipso-facto avec la carrière politique, Ahmed Medeghri a connu un déclain irréversible et inéxorable laissant présager sa fin prochaine». Après sa mort dans des conditions mystérieuses, comme l’ont avancé certaines personnes proches du père de l’Administration algérienne, «sa mère voulut récupérer son corps pour organiser ses funérailles, elle a eu une rencontre pathétique avec le président Boumedienne qui lui a répondu que Si Hocine avait servi la révolution et qu’à ce titre, il appartient à l’Algérie d’organiser ses obsèques et son corps doit se reposer au carré des martyrs d’El-Alia».
En conclusion, L’ex-wali d’El-Asnam, Mohamed Nedjadi, connu sous le nom de guerre de Mokrane, lève le voile, dans ce manuscrit, dont une copie est en notre possession, que Medeghri est mort tragiquement et une commission d’enquête avait été désignée pour déterminer les circonstances de sa mort après examen de son cadavre et cette commission fut présidée par le ministre de la Santé de cette époque, le Dr Omar Boudjelab qui aurait pu aisément et sans inconvénient, soulager la conscience du peuple en révélant les véritables causes de la mort de Ahmed Medehri.
Le destin en a décidé autrement puisque le Dr Omar Boudjelab, aujourd’hui, décédé, a emporte son secret dans sa tombe.
Quoi qu’il en soit, les morts ne vous diront rien. On se fait vieux et le souvenir s’alourdit… Chacun de nous à un pan d’histoire caché dans le coeur et dans la mémoire…en peril. Et les martyrs hantent beaucoup d’esprits de nos jours… Gloire à nos glorieux Chouhadas.
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