On a tellement évoqué le problème des locaux commerciaux inexploités, au point où le sujet s’est banalisé par le temps, mais à constater le triste sort de ces locaux, le rappel s’impose comme devoir citoyen.
En effet, au moment où des milliers de jeunes de Tissemsilt souffrent le martyre du problème du chômage et de l’oisiveté et dénoncent à chaque fois les dépassements qui se feraient sur les rares occasions de recrutement qui se sont présentées, un nombre assez important de locaux commerciaux appartenant à l’OPGI et aux collectivités locales restent encore fermés, et ce depuis des années.
D’autres locaux par contre ont été malheureusement transformés en habitations de fortune, cela paraît peut être justifié pour certains responsables, mais arriver à constater que par endroits, ces locaux qui avaient coûté des enveloppes importantes à la caisse de l’Etat restent délaissés et encore inexploités pour leur vraie vocation, le devoir oblige le citoyen à interpeller encore une fois les responsables, vu que la plupart de ces locaux sont saccagés et transformés en lieux de débauche et pratiques illégales. Cette dure vérité est vérifiable un peu partout où sont construits ces locaux, certains diront que l’incohérence est devenue le quotidien de tout un chacun.
Les (34) locaux commerciaux situés à la cité des plateaux et ceux d’Ain Lorant, de la route de Sidi Abed et autres distribués et inaugurés il y a quelques années seulement, de nos jours, sont à moitié fermés à l’exception de certains locaux qui font face à la rue. Pour les vrais commerçants et les citoyens qui sont dans le besoin, ces locaux sont plus qu’incommodés par le laisser aller, l’anarchie et la saleté qui règnent sur ces lieux …
A.Ould El Hadri
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