À l’issue de la visite qu’il a effectuée, mardi à Sétif, M. Mustapha Guitouni, président-directeur général de la Sonelgaz, est revenu sur les avancées extraordinaires qu’a connues la wilaya en matière de couverture en gaz naturel, de l’ordre aujourd’hui de 94%, et de l’électricité, avec plus de 98%, soulignant que cela est le juste couronnement des efforts consentis par l’État dans la mise en œuvre du programme du Président de la République, et de l’aide constante qui a été apportée par les pouvoirs publics locaux, à leur tête le wali.
A la question de savoir si l’année 2017 n’était pas une année charnière au vu du programme de développement 2013-2017, dans une déclaration à El Moudjahid, M. Guitouni n’hésitera pas à dresser un tableau comparatif plus que révélateur allant dans le sens de ces avancées : «De 1962 à 2000, nous avions une capacité de 4.000 MW installée et de 2000 à 2017, nous sommes déjà sur 14.000 MW. C’est plus que révélateur je pense des efforts d’envergure de l’Etat, sachant que la réalisation d’une centrale revient à 1 ou à 1,5 milliards de dollars.
A la question de savoir si l’année 2017 n’était pas une année charnière au vu du programme de développement 2013-2017, dans une déclaration à El Moudjahid, M. Guitouni n’hésitera pas à dresser un tableau comparatif plus que révélateur allant dans le sens de ces avancées : «De 1962 à 2000, nous avions une capacité de 4.000 MW installée et de 2000 à 2017, nous sommes déjà sur 14.000 MW. C’est plus que révélateur je pense des efforts d’envergure de l’Etat, sachant que la réalisation d’une centrale revient à 1 ou à 1,5 milliards de dollars.
Autant que pour le gaz donc, le taux d’électrification à évolué à travers tout le pays et je puis affirmer qu’il n’y a pas un pays au monde qui compte des taux aussi importants pour ces deux secteurs.
Par ailleurs, L’état s’est également investi dans le domaine des énergies renouvelables, nous sommes actuellement sur le lancement de 4.000 MW en énergie photovoltaïque au moment où nous avons déjà 400 MW qui existent, gérés et entretenus par des Algériens. C’est dire que nous maîtrisons le savoir-faire. Tout cela nous amènera dès les années 2021-2022 à commencer à substituer l’énergie renouvelable à l’énergie classique, ce qui ne sera pas sans faire gagner au pays plusieurs milliards de mètres cubes de gaz.»
Par ailleurs, L’état s’est également investi dans le domaine des énergies renouvelables, nous sommes actuellement sur le lancement de 4.000 MW en énergie photovoltaïque au moment où nous avons déjà 400 MW qui existent, gérés et entretenus par des Algériens. C’est dire que nous maîtrisons le savoir-faire. Tout cela nous amènera dès les années 2021-2022 à commencer à substituer l’énergie renouvelable à l’énergie classique, ce qui ne sera pas sans faire gagner au pays plusieurs milliards de mètres cubes de gaz.»
Zahir.A
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