Les agents de contrôle ont procédé à la verbalisation de 44 commerçants au niveau régional dont 20 pour la seule wilaya d’Oran.
Cinq wilayas relevant de la direction régionale du commerce à Oran ont été ciblées par une opération de contrôle concernant les herboristeries et les vendeurs de plantes médicinales. Ainsi, 116 commerçants ont été contrôlés à Oran, Mostaganem, Sidi Bel-Abbès, Aïn Témouchent et Tlemcen. Les agents de contrôle ont procédé à la verbalisation de 44 commerçants au niveau régional dont 20 pour la seule wilaya d’Oran, apprend-on de sources concordantes.
Les mêmes agents ont saisi des produits non conformes d’un montant de 140 millions de centimes et également plus de 200 boîtes de préparation de produits cosmétiques arrivés à péremption d’une valeur de 20 millions de centimes. Les responsables de la direction régionale du commerce ont pu mettre fin aux activités d’une trentaine d’herboristes pour absence de registre du commerce. Fait notable, les mêmes responsables redoutent à présent la commercialisation de fortifiants alimentaires habituellement vendus dans les pharmacies. “Les fortifiants qui sont fabriqués sans licence sont désormais commercialisés par les herboristes sans contrôle ni garantie sur la santé publique” apprend-on auprès de l’institution de la répression des fraudes et du contrôle de la qualité. Il est en effet relevé qu’en sus de leur profusion, il n’existe en revanche aucune traçabilité indiquant la posologie, le mode d’emploi, la date de fabrication et de péremption encore moins les effets secondaires qu’ils peuvent occasionner chez les consommateurs en quête d’une panacée rapide et souvent onéreuse. Ce sont les vendeurs d’herbes ambulants qui posent problème car mobiles et changeant régulièrement de lieu. “Nous avons maille à partir avec les vendeurs à la sauvette qui s’éclipsent dès qu’ils nous aperçoivent”, affirme un contrôleur de la direction régionale du commerce.
Dans la wilaya d’Oran, les boutiques spécialisées en herboristerie poussent comme des champignons en proposant toutes sortes de plantes médicinales prêtes à l’emploi. Selon notre interlocuteur, des campagnes de sensibilisation doivent être mises en place entre les services concernés par ce problème qui se propage comme une traînée de poudre. C’est dans cet état d’esprit que les agents de contrôle ont épinglé des herboristes qui exercent sans autorisation et en dehors des codes régissant cette activité commerciale. Dans ce contexte, une quinzaine d’entre eux ont été traduits en justice pour activité illégale d’herboriste.
Cinq wilayas relevant de la direction régionale du commerce à Oran ont été ciblées par une opération de contrôle concernant les herboristeries et les vendeurs de plantes médicinales. Ainsi, 116 commerçants ont été contrôlés à Oran, Mostaganem, Sidi Bel-Abbès, Aïn Témouchent et Tlemcen. Les agents de contrôle ont procédé à la verbalisation de 44 commerçants au niveau régional dont 20 pour la seule wilaya d’Oran, apprend-on de sources concordantes.
Les mêmes agents ont saisi des produits non conformes d’un montant de 140 millions de centimes et également plus de 200 boîtes de préparation de produits cosmétiques arrivés à péremption d’une valeur de 20 millions de centimes. Les responsables de la direction régionale du commerce ont pu mettre fin aux activités d’une trentaine d’herboristes pour absence de registre du commerce. Fait notable, les mêmes responsables redoutent à présent la commercialisation de fortifiants alimentaires habituellement vendus dans les pharmacies. “Les fortifiants qui sont fabriqués sans licence sont désormais commercialisés par les herboristes sans contrôle ni garantie sur la santé publique” apprend-on auprès de l’institution de la répression des fraudes et du contrôle de la qualité. Il est en effet relevé qu’en sus de leur profusion, il n’existe en revanche aucune traçabilité indiquant la posologie, le mode d’emploi, la date de fabrication et de péremption encore moins les effets secondaires qu’ils peuvent occasionner chez les consommateurs en quête d’une panacée rapide et souvent onéreuse. Ce sont les vendeurs d’herbes ambulants qui posent problème car mobiles et changeant régulièrement de lieu. “Nous avons maille à partir avec les vendeurs à la sauvette qui s’éclipsent dès qu’ils nous aperçoivent”, affirme un contrôleur de la direction régionale du commerce.
Dans la wilaya d’Oran, les boutiques spécialisées en herboristerie poussent comme des champignons en proposant toutes sortes de plantes médicinales prêtes à l’emploi. Selon notre interlocuteur, des campagnes de sensibilisation doivent être mises en place entre les services concernés par ce problème qui se propage comme une traînée de poudre. C’est dans cet état d’esprit que les agents de contrôle ont épinglé des herboristes qui exercent sans autorisation et en dehors des codes régissant cette activité commerciale. Dans ce contexte, une quinzaine d’entre eux ont été traduits en justice pour activité illégale d’herboriste.
K. REGUIEG-ISSAAD
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