Le phénomène de la bureaucratie semble ne pas se terminer dans certaines administrations, notamment au sein du dispositif de l’ANSEJ où beaucoup de jeunes sont confrontés à de gros problèmes pour bénéficier d’un projet. Ces problèmes demeurent malgré les directives de l’Etat qui visent à faciliter les tâches notamment aux porteurs de projet.
Certains jeunes ont été forcés, ces dernières années, à abandonner leurs projets en raison des difficultés qu’ils ont rencontrées avec cet organisme ANSEJ. L’exemple de cette femme enseignante, libre de tout engagement, avait formulé un dossier pour la création d’une école des langues à Tiaret. Son projet a été étudié et accepté par la commission dans un premier temps.
L’enseignante, selon sa requête, avait été reçue par l’ex-wali qui lui avait promis un local parmi ceux d’AADL, mais en vain. Sa seconde intervention auprès du nouveau wali à travers le site électronique, n’avait abouti à rien, puisqu’elle a été orientée vers les SG de la wilaya qui l’a orientée ensuite à la daïra. La réponse di chef de daïra était claire « Le local pour la création d’une école est trop exigu, il faut aller louer de chez les propriétaires privés de grands locaux commerciaux ». S’ajoute à cela, que même la direction des impôts ne cesse d’adresser des mises en demeure à tous les bénéficiaires de projets non lancés pour s’acquitter des droits des taxes. En sus de cela, des dizaines de demandeurs de crédit ont abandonné leurs projets à cause de ces entraves que dicte la bureaucratie de l’administration
L. Bouhala
Certains jeunes ont été forcés, ces dernières années, à abandonner leurs projets en raison des difficultés qu’ils ont rencontrées avec cet organisme ANSEJ. L’exemple de cette femme enseignante, libre de tout engagement, avait formulé un dossier pour la création d’une école des langues à Tiaret. Son projet a été étudié et accepté par la commission dans un premier temps.
L’enseignante, selon sa requête, avait été reçue par l’ex-wali qui lui avait promis un local parmi ceux d’AADL, mais en vain. Sa seconde intervention auprès du nouveau wali à travers le site électronique, n’avait abouti à rien, puisqu’elle a été orientée vers les SG de la wilaya qui l’a orientée ensuite à la daïra. La réponse di chef de daïra était claire « Le local pour la création d’une école est trop exigu, il faut aller louer de chez les propriétaires privés de grands locaux commerciaux ». S’ajoute à cela, que même la direction des impôts ne cesse d’adresser des mises en demeure à tous les bénéficiaires de projets non lancés pour s’acquitter des droits des taxes. En sus de cela, des dizaines de demandeurs de crédit ont abandonné leurs projets à cause de ces entraves que dicte la bureaucratie de l’administration
L. Bouhala
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