Les abribus érigés au niveau de la station dite « Lassasse » qui se trouvent au centre-ville de Relizane, Installés avec des budgets colossaux pour le confort des passagers, ont été complètement saccagés.
Cela dit, le mobilier urbain de la ville de Relizane, continue de subir les affres du vandalisme qui est de retour et ce, après une période d’accalmie.
Ces abribus métalliques sont la cible d’énergumènes sans foi ni loi et qui hantent la cité populaire, en l’absence des services locaux de l’urbanisme qui somnolent au moment où l’on détruit la ville au su et vu de tout le monde. Visiblement, l’immobilier urbain que la collectivité locale de Relizane a érigé aux différents recoins, dans le but d’améliorer le cadre de vie au niveau de la ville de Relizane, fait quotidiennement l’objet de caprices des casseurs impunis. Ainsi, les usagers du transport urbain qui transitent par la station susmentionnée, déplorent l’état dans lequel se trouvent les abribus de cette halte complètement saccagés pendant la nuit par des jeunes squattant ainsi les alentours qui décharnent leur cité. «Cet hiver, nous serons contraints d’attendre le bus, sous des abribus défoncés, à la merci de la pluie et du vent», s’inquiète un usager. «Les actes de vandalisme sont des pratiques malsaines qui devraient être châtiées», s’écrie un chauffeur de bus qui ajoutera que le rôle de ces abris est de protéger les citoyens, durant l’attente des bus et surtout d’enjoliver la ville et la rendre moderne et agréable. A noter qu’un seul abribus coûte en moyenne, la bagatelle de 20 millions de centimes.
C’est pour cela qu’il est préférable pour la collectivité de placer des veilleurs de nuit dans les stations et ce, afin de surveiller surveillent ces équipements qui reviennent très chers aux contribuables. C’est ainsi que les passagers de bus transitant par la station susévoquée, souhaitent que les autorités locales réhabilitent les abribus et dotent le terminus de gardiens pour prémunir la station des actes de vandalisme.
A.L.
Cela dit, le mobilier urbain de la ville de Relizane, continue de subir les affres du vandalisme qui est de retour et ce, après une période d’accalmie.
Ces abribus métalliques sont la cible d’énergumènes sans foi ni loi et qui hantent la cité populaire, en l’absence des services locaux de l’urbanisme qui somnolent au moment où l’on détruit la ville au su et vu de tout le monde. Visiblement, l’immobilier urbain que la collectivité locale de Relizane a érigé aux différents recoins, dans le but d’améliorer le cadre de vie au niveau de la ville de Relizane, fait quotidiennement l’objet de caprices des casseurs impunis. Ainsi, les usagers du transport urbain qui transitent par la station susmentionnée, déplorent l’état dans lequel se trouvent les abribus de cette halte complètement saccagés pendant la nuit par des jeunes squattant ainsi les alentours qui décharnent leur cité. «Cet hiver, nous serons contraints d’attendre le bus, sous des abribus défoncés, à la merci de la pluie et du vent», s’inquiète un usager. «Les actes de vandalisme sont des pratiques malsaines qui devraient être châtiées», s’écrie un chauffeur de bus qui ajoutera que le rôle de ces abris est de protéger les citoyens, durant l’attente des bus et surtout d’enjoliver la ville et la rendre moderne et agréable. A noter qu’un seul abribus coûte en moyenne, la bagatelle de 20 millions de centimes.
C’est pour cela qu’il est préférable pour la collectivité de placer des veilleurs de nuit dans les stations et ce, afin de surveiller surveillent ces équipements qui reviennent très chers aux contribuables. C’est ainsi que les passagers de bus transitant par la station susévoquée, souhaitent que les autorités locales réhabilitent les abribus et dotent le terminus de gardiens pour prémunir la station des actes de vandalisme.
A.L.
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