Réalisés dans le cadre de l’opération des «100 locaux par commune», initiée par le président de la République, une centines de locaux situés au niveau d Ain kermès , dans le cadre de développement locale du sud de Tiaret , demeurent, à ce jour, inexploités et sont devenus des urinoirs à ciel ouvert.
Depuis plus quatre année, ces locaux ont été inaugurés et attribués à des jeunes sans emplois pour la création d’emplois directs et indirects, re-dynamiser et reprendre les activités traditionnelles et artisanales et créer de nouvelles activités.
Malheureusement, les 100 locaux n’ont jamais été exploités depuis leur inauguration et sont devenus des urinoirs dégageant ainsi des odeurs nauséabondes gênantes et des lieux de débauche. «J’ai fermé mon local et j’ai loué ailleurs, car je ne pouvais plus continuer à travailler dans de telles conditions.
En plus de l’insécurité, la saleté et les mauvaises odeurs m’ont empêché de prospérer et de développer mon activité», nous dira une artisane-pâtissière qui a dû quitter ces lieux censés être des espaces et instruments de régulation des activités artisanales et commerciales et un facteur de satisfaction des besoins des citoyens.
Enfin, les citoyens de cette localité, en plus de leur mécontentement sur le sort réservé à ces locaux «inactifs et menaçants», se demandent si vraiment ces jeunes sont des chômeurs ou tout simplement des gens qui ne veulent pas travailler.
A. Rahmane
Depuis plus quatre année, ces locaux ont été inaugurés et attribués à des jeunes sans emplois pour la création d’emplois directs et indirects, re-dynamiser et reprendre les activités traditionnelles et artisanales et créer de nouvelles activités.
Malheureusement, les 100 locaux n’ont jamais été exploités depuis leur inauguration et sont devenus des urinoirs dégageant ainsi des odeurs nauséabondes gênantes et des lieux de débauche. «J’ai fermé mon local et j’ai loué ailleurs, car je ne pouvais plus continuer à travailler dans de telles conditions.
En plus de l’insécurité, la saleté et les mauvaises odeurs m’ont empêché de prospérer et de développer mon activité», nous dira une artisane-pâtissière qui a dû quitter ces lieux censés être des espaces et instruments de régulation des activités artisanales et commerciales et un facteur de satisfaction des besoins des citoyens.
Enfin, les citoyens de cette localité, en plus de leur mécontentement sur le sort réservé à ces locaux «inactifs et menaçants», se demandent si vraiment ces jeunes sont des chômeurs ou tout simplement des gens qui ne veulent pas travailler.
A. Rahmane
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