Beaucoup de commerces et de services sont restés fermés et le seront tout le reste de la semaine.
Beaucoup d’amateurs du «petit noir» le matin étaient furieux et déçus par la fermeture de cafés les second et troisième jour de l’Aïd.
Il en était de même pour les boulangeries. Les quelques magasins d’alimentation ouverts, car désignés sur la liste de permanence, du reste respectée par les commerçants, ne pouvaient pas satisfaire une demande accrue en ce jour de grande fête religieuse qui ne saurait, en aucun cas, être assimilée au Mawlid Ennaboui ou à l’Achoura.
Par ailleurs, les appréhensions des consommateurs, quant au manque de pain et de lait durant les jours de l’Aïd El Adha, étaient finalement fondées. En effet, ces deux produits de large consommation font cruellement défaut depuis la veille de la fête. Les quelques boulangeries encore en activité produisent des quantités insuffisantes, ce qui rend quasiment introuvable cette denrée dès 8H.
Les citoyens de la wilayas de Tiaret a eu du mal à s’approvisionner pendant les deux jours de l’Aïd El Adha et même depuis plus d’une semaine.
Selon certains épiciers, les laiteries qui desservent les deux villes et leurs environs quotidiennement en produits laitiers ont cessé la livraison la veille de l’Aïd El Adha en raison de la fermeture des usines, la plupart des travailleurs ont pris congé pour passer la fête religieuse en famille.
Des explications, des prétextes qui s’avèrent loin de la logique car la pénurie dure depuis des mois sans qu’il y ait une solution efficiente. Cette situation a contraint beaucoup de pères de famille à se rabattre sur le lait de vache et le lait en boîte bien plus chers. Les consommateurs étonnés se demandent pourquoi cette pénurie malgré les mesures prises par le ministre du Commerce qui a instruit les propriétaires de laiterie à respecter le programme de permanence dans le but d’assurer un approvisionnement en lait en sachet durant la fête de l’Aïd El Adha. Le secteur des transports n’y échappe pas non plus.
Pourtant, l’offre est très forte dans cette filière qui a pu absorber des fl ots de chômeurs «locaux. Il devrait, à notre sens, être établi des points de contrôle sur le parcours du bus assurant les liaisons.
Une borne de pointage certifiant sa présence dans le circuit et un bon coup de pied dans cette fourmilière est d’ailleurs fort souhaitable, même en dehors des fêtes. Cette situation s’est apaisée dans l’après-midi du deuxième jour de l’Aïd, où on a constaté que certains commerces ont ouvert et quelques bus et taxis étaient présents dans les stations et gares routières.
Beaucoup d’amateurs du «petit noir» le matin étaient furieux et déçus par la fermeture de cafés les second et troisième jour de l’Aïd.
Par ailleurs, les appréhensions des consommateurs, quant au manque de pain et de lait durant les jours de l’Aïd El Adha, étaient finalement fondées. En effet, ces deux produits de large consommation font cruellement défaut depuis la veille de la fête. Les quelques boulangeries encore en activité produisent des quantités insuffisantes, ce qui rend quasiment introuvable cette denrée dès 8H.
Les citoyens de la wilayas de Tiaret a eu du mal à s’approvisionner pendant les deux jours de l’Aïd El Adha et même depuis plus d’une semaine.
Selon certains épiciers, les laiteries qui desservent les deux villes et leurs environs quotidiennement en produits laitiers ont cessé la livraison la veille de l’Aïd El Adha en raison de la fermeture des usines, la plupart des travailleurs ont pris congé pour passer la fête religieuse en famille.
Des explications, des prétextes qui s’avèrent loin de la logique car la pénurie dure depuis des mois sans qu’il y ait une solution efficiente. Cette situation a contraint beaucoup de pères de famille à se rabattre sur le lait de vache et le lait en boîte bien plus chers. Les consommateurs étonnés se demandent pourquoi cette pénurie malgré les mesures prises par le ministre du Commerce qui a instruit les propriétaires de laiterie à respecter le programme de permanence dans le but d’assurer un approvisionnement en lait en sachet durant la fête de l’Aïd El Adha. Le secteur des transports n’y échappe pas non plus.
Pourtant, l’offre est très forte dans cette filière qui a pu absorber des fl ots de chômeurs «locaux. Il devrait, à notre sens, être établi des points de contrôle sur le parcours du bus assurant les liaisons.
Une borne de pointage certifiant sa présence dans le circuit et un bon coup de pied dans cette fourmilière est d’ailleurs fort souhaitable, même en dehors des fêtes. Cette situation s’est apaisée dans l’après-midi du deuxième jour de l’Aïd, où on a constaté que certains commerces ont ouvert et quelques bus et taxis étaient présents dans les stations et gares routières.
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