Les éditions Achab mettent sur le marché une nouvelle publication, intitulée Des mots en rondelles, qui sera disponible en librairie dans les tous prochains jours en Algérie. Il s’agit d’un recueil des chroniques d’El Houari Dilmi, journaliste au Quotidien d’Oran publiées entre 1996 et 2011 par le journal sous la rubrique «Raïna-Raïkoum». Préfacé par le chroniqueur Hakim Laâlam, l’ouvrage réunit une partie des chroniques qui plongent dans les entrailles de l’Algérie, ce pays antichoc opposé à un peuple bouclier.
Une Algérie, aujourd’hui à la croisée des chemins qui montent, où même les hommes et les femmes qui l’ont farouchement défendue (mais peut-être trop mal), devraient, eux aussi, avoir peur de l’avoir mal servie, lit-on en quatrième de couverture.
Une Algérie, aujourd’hui à la croisée des chemins qui montent, où même les hommes et les femmes qui l’ont farouchement défendue (mais peut-être trop mal), devraient, eux aussi, avoir peur de l’avoir mal servie, lit-on en quatrième de couverture.
Né à l’aube de l’indépendance du pays à Oran, Dilmi a débuté sa carrière au journal Le Soir d’Algérie au début des années 90, avant de ranger momentanément son stylo après l’attentat terroriste perpétré contre son confrère et ami Miloud Zaâtar, journaliste à Alger Républicain, en plein cauchemar terroriste.
En 1994, il rejoint le Quotidien d’Oran où il exerce toujours comme chef de bureau à Tiaret. En 2005, il entame une nouvelle expérience professionnelle en intégrant l’équipe de la Chaîne III de la Radio Algérienne dont il est le correspondant permanent pour la région de Tiaret. El Houari Dilmi qui s’éprend très jeune de la «folie» des Belles Lettres à participé à différents concours littéraires, notamment celui de la meilleure Nouvelle. Autre «signe particulier» à mettre à l’actif de cette «plume iconoclaste», c’est le nombre tout simplement effarant de plaintes, plus de cent vingt, déposées contre lui sous le motif bateau d’«écrits diffamatoires».
Saliha L.
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