Des dizaines de travailleurs en CDD de l’entreprise Cosider – TP de Ain Kermès organisent, depuis avant-hier, lundi, un rassemblement de protestation contre la décision de la direction de «compresser le personnel, alors que certains d’entre - eux cumulent plusieurs années d’exercice». Le motif invoquée par le directeur serait lié à cette austérité et surtout à «des directives que l’entreprise d’envergure aurait reçus d’Alger».
Cette situation a plongé des dizaines de pères de famille dans la tourmente, ces derniers ne sachant plus à quel responsable se fier. La base vie de cette grande entreprise en charge du projet ferroviaire Saïda-Tiaret est située à plus de 65 km du chef-lieu de wilaya.
Les travailleurs, mécontents, ont été unanimes, dans une déclaration à la presse, à affirmer «ne pas comprendre comment l’entreprise se permet de ne pas renouveler leur contrat de travail, d’un côté, et d’embaucher de l’autre». Le groupe Cosider, qui a 8 filiales, est l’une des deux parties contractantes pour le projet ferroviaire Saïda-Tiaret long de 153 km, avec le groupe Astaldi. La réalisation du chemin de fer avance bien, en dépit des retards déjà coûteux pour le budget de l’Etat.
Les travailleurs en colère, qui n’ont pas obtenu le renouvellement de leur contrat de travail se sont regroupés devant le siège de la base vie de Ain Kermès. Ils comptent hausser le ton si aucun responsable ne daigne les rassurer.
Sur des banderoles, les protestataires insistent sur «le départ du directeur» et sur leur «réintégration dans leur poste de travail». Selon des informations fournies il y a quelques mois par le ministère et par l’agence Anesrif, la ligne Saïda-Tiaret de 153 km, devrait être réalisée dans un délai de 36 mois par le groupement Cosider-Astaldi (Italie), mais des retards sont déjà enregistrés. Deux gares de marchandises seront construites à Tiaret et Saïda.
Des gares de voyageurs seront également construites à Frenda, Baloul et Aïn Kermès, en plus des gares de croisement sur toute cette ligne. S’agissant de la ligne Relizane-Tiaret-Tissemsilt (185 km), son délai contractuel de réalisation est de 54 mois, Mais les retards sont énormes.
Confiée initialement au groupement ETRHB-FCC (Espagne), ce projet a depuis changé de mains.
Cette ligne comprend 7 gares, qui seront réalisées à Zemoura, Rahouia, Mendès, Mechraa Sfa, Tiaret, Dahmouni et Mahdia. Hier, nous avons tenté de joindre les directeurs des transports et de l’emploi, en vain.
Cette situation a plongé des dizaines de pères de famille dans la tourmente, ces derniers ne sachant plus à quel responsable se fier. La base vie de cette grande entreprise en charge du projet ferroviaire Saïda-Tiaret est située à plus de 65 km du chef-lieu de wilaya.
Les travailleurs, mécontents, ont été unanimes, dans une déclaration à la presse, à affirmer «ne pas comprendre comment l’entreprise se permet de ne pas renouveler leur contrat de travail, d’un côté, et d’embaucher de l’autre». Le groupe Cosider, qui a 8 filiales, est l’une des deux parties contractantes pour le projet ferroviaire Saïda-Tiaret long de 153 km, avec le groupe Astaldi. La réalisation du chemin de fer avance bien, en dépit des retards déjà coûteux pour le budget de l’Etat.
Les travailleurs en colère, qui n’ont pas obtenu le renouvellement de leur contrat de travail se sont regroupés devant le siège de la base vie de Ain Kermès. Ils comptent hausser le ton si aucun responsable ne daigne les rassurer.
Sur des banderoles, les protestataires insistent sur «le départ du directeur» et sur leur «réintégration dans leur poste de travail». Selon des informations fournies il y a quelques mois par le ministère et par l’agence Anesrif, la ligne Saïda-Tiaret de 153 km, devrait être réalisée dans un délai de 36 mois par le groupement Cosider-Astaldi (Italie), mais des retards sont déjà enregistrés. Deux gares de marchandises seront construites à Tiaret et Saïda.
Confiée initialement au groupement ETRHB-FCC (Espagne), ce projet a depuis changé de mains.
Cette ligne comprend 7 gares, qui seront réalisées à Zemoura, Rahouia, Mendès, Mechraa Sfa, Tiaret, Dahmouni et Mahdia. Hier, nous avons tenté de joindre les directeurs des transports et de l’emploi, en vain.
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