Les neuf enfants orphelins issus de familles nécessiteuses, recensés dans la commune d' Ain Kermes , n’ont pas eu droit à une cérémonie de circoncision convenable.
Inscrits dans le cadre d’une opération de circoncision collective, organisée par l’APC, ces enfants n’ont pas eu droit à la joie qu’ils attendaient.
La désorganisation qui a marqué le déroulement de cette opération a été à l’origine d’un sentiment de déception exprimé par les familles et les citoyens. Ainsi, la commune a été incapable d’organiser l’opération de bout en bout. Les parents ont été appelés à effectuer eux-mêmes les analyses médicales précédant l’opération de circoncision.
Les enfants n’ont pas eu droit à la tenue traditionnelle qui leur est offerte à cette occasion et n’ont pas été conviés à partager ce moment de joie dans une ambiance de fête.
« On a l’impression d’avoir assisté à un deuil », diront les parents, déçus. « Ils nous ont tellement fait courir pour que, à la fin, les enfants quittent la clinique comme ils sont venus. Ils n’ont pas eu droit à un cadeau comme souvenir de ce moment important dans la vie d’un enfant », ont-ils indiqué. Le gâchis qui a marqué cette opération a été, partiellement, rattrapé par un geste symbolique du SG de la commune,
lequel s’est « débrouillé » des tenues de la daïra de Frenda pour les remettre aux enfants nécessiteux.
Pourtant, le budget alloué à une telle opération avoisine les 100 millions de centimes. Le nombre d’enfants (neuf) nécessiteux dans une commune de telle ampleur suscite des interrogations sur les raisons de l’abstention des familles à prendre part à une telle opération.
Inscrits dans le cadre d’une opération de circoncision collective, organisée par l’APC, ces enfants n’ont pas eu droit à la joie qu’ils attendaient.
La désorganisation qui a marqué le déroulement de cette opération a été à l’origine d’un sentiment de déception exprimé par les familles et les citoyens. Ainsi, la commune a été incapable d’organiser l’opération de bout en bout. Les parents ont été appelés à effectuer eux-mêmes les analyses médicales précédant l’opération de circoncision.
Les enfants n’ont pas eu droit à la tenue traditionnelle qui leur est offerte à cette occasion et n’ont pas été conviés à partager ce moment de joie dans une ambiance de fête.
« On a l’impression d’avoir assisté à un deuil », diront les parents, déçus. « Ils nous ont tellement fait courir pour que, à la fin, les enfants quittent la clinique comme ils sont venus. Ils n’ont pas eu droit à un cadeau comme souvenir de ce moment important dans la vie d’un enfant », ont-ils indiqué. Le gâchis qui a marqué cette opération a été, partiellement, rattrapé par un geste symbolique du SG de la commune,
lequel s’est « débrouillé » des tenues de la daïra de Frenda pour les remettre aux enfants nécessiteux.
Pourtant, le budget alloué à une telle opération avoisine les 100 millions de centimes. Le nombre d’enfants (neuf) nécessiteux dans une commune de telle ampleur suscite des interrogations sur les raisons de l’abstention des familles à prendre part à une telle opération.
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