Les trésors de la bibliothèque d'Alexandrie, est un documentaire (0h46) qui tente de comprendre et d'élucider les circonstances encore mystérieuses de la disparition de la bibliothèque et de ses ouvrages.
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Alexandrie fut fondée en 332-331 av. J.-C., par Alexandre le Grand, et devint dans l'antiquité le premier port d'Égypte. Elle fut à son époque l'un des plus grands foyers culturels de la Méditerranée, sa bibliothèque superbe étant sans conteste l'un des principaux fondements de sa notoriété.
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C'est l'un des généraux d'Alexandre, Ptolémée Ier, recevant l'Égypte en partage à la mort de l'empereur, qui donna l'impulsion intellectuelle et commerciale à la future grandeur d'Alexandrie. En 288 av. J.-C., il fit construire un musée, le museion ou palais des Muses, abritant une université, une académie et la bibliothèque estimée à 700 000 volumes au temps de César. Ensuite il demanda dans chacun des pays connus à ce qu'on lui envoie les œuvres de tous types d'auteurs, qu'il faisait traduire en grec.
Le Musée devint un centre académique de hautes recherches où les savants sont défrayés par le prince et où ils trouvent les instruments, collections, jardins zoologiques et botaniques nécessaires à leurs travaux.
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La traduction en grec de tous ces ouvrages fut un travail colossal qui mobilisa la plupart des intellectuels et savants de chaque pays, car il fallait que ces hommes maîtrisent à la perfection leur propre langue ainsi que le grec. La bibliothèque fut dirigée par des érudits comme Zénodote d'Éphèse, puis Aristophane de Byzance, Aristarque de Samothrace et Apollonios de Rhodes.
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Il existe de nombreuses hypothèses sur la destruction de la bibliothèque d'Alexandrie.
En 47 av. J.-C., les troupes de Jules César incendient la flotte d'Alexandrie, le feu se serait propagé aux entrepôts et aurait détruit une partie de la bibliothèque. Reconstruite, elle est détruite à nouveau cinq ou six fois, la dernière en 642 par le général Amr Ibn al-As, obéissant au calife Umar...
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Les sources sont extrêmement limitées et les positions des historiens toutes aussi tranchées les unes que les autres. Aucune trace matérielle de la bibliothèque d'Alexandrie n'a été, à ce jour, identifiée ou retrouvée. L'absence d'élément matériel met donc les chercheurs dans l'impossibilité de valider, infirmer ou corroborer les dires des sources qui, au fil du temps, ont pu être manipulées, incomprises ou interprétées, dans un sens ou un autre.
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Alexandrie fut fondée en 332-331 av. J.-C., par Alexandre le Grand, et devint dans l'antiquité le premier port d'Égypte. Elle fut à son époque l'un des plus grands foyers culturels de la Méditerranée, sa bibliothèque superbe étant sans conteste l'un des principaux fondements de sa notoriété.
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C'est l'un des généraux d'Alexandre, Ptolémée Ier, recevant l'Égypte en partage à la mort de l'empereur, qui donna l'impulsion intellectuelle et commerciale à la future grandeur d'Alexandrie. En 288 av. J.-C., il fit construire un musée, le museion ou palais des Muses, abritant une université, une académie et la bibliothèque estimée à 700 000 volumes au temps de César. Ensuite il demanda dans chacun des pays connus à ce qu'on lui envoie les œuvres de tous types d'auteurs, qu'il faisait traduire en grec.
Le Musée devint un centre académique de hautes recherches où les savants sont défrayés par le prince et où ils trouvent les instruments, collections, jardins zoologiques et botaniques nécessaires à leurs travaux.
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La traduction en grec de tous ces ouvrages fut un travail colossal qui mobilisa la plupart des intellectuels et savants de chaque pays, car il fallait que ces hommes maîtrisent à la perfection leur propre langue ainsi que le grec. La bibliothèque fut dirigée par des érudits comme Zénodote d'Éphèse, puis Aristophane de Byzance, Aristarque de Samothrace et Apollonios de Rhodes.
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Il existe de nombreuses hypothèses sur la destruction de la bibliothèque d'Alexandrie.
En 47 av. J.-C., les troupes de Jules César incendient la flotte d'Alexandrie, le feu se serait propagé aux entrepôts et aurait détruit une partie de la bibliothèque. Reconstruite, elle est détruite à nouveau cinq ou six fois, la dernière en 642 par le général Amr Ibn al-As, obéissant au calife Umar...
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Les sources sont extrêmement limitées et les positions des historiens toutes aussi tranchées les unes que les autres. Aucune trace matérielle de la bibliothèque d'Alexandrie n'a été, à ce jour, identifiée ou retrouvée. L'absence d'élément matériel met donc les chercheurs dans l'impossibilité de valider, infirmer ou corroborer les dires des sources qui, au fil du temps, ont pu être manipulées, incomprises ou interprétées, dans un sens ou un autre.
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