L'historique de la JMS Tiaret a été le thème d'une conférence animée jeudi à l'Office des établissements des jeunes (ODELJ) par Amar Belkhodja, ex-journaliste et chercheur en histoire, et ce, devant une assistance rehaussée par la présence d'anciennes figures de proue du club, à l'image des Bouabdelli, Chaouch, Bermati et autres joueurs ayant fait, jadis, la fierté de toute une ville.
Transmise en direct sur les ondes de la radio locale, cette louable et première initiative du genre a suscité un engouement des plus particuliers parmi les invités, d'autant que le conférencier a abordé le sujet depuis des ères aussi lointaines que la création du club. Le silence assourdissant qui planait dans la salle dénotait, si besoin est, de l'attention que prêtaient lesTiaretis à l'histoire de leur club, et plus particulièrement les joueurs des années 80, tels Zaoui, Benzineb, Adjaoui Gharbi, venus nombreux enrichir leurs connaissances et s'inspirer de leurs aînés. Les témoignages de Bouabdelli Mohamed et de Chaouch Ferhat sur la résistance et les sacrifices auxquels s'adonnaient les Bleu- Blanc de l'époque ont laissé place à une émotion indescriptible, forçant ainsi les uns et les autres à plonger dans une réminiscence sans précédent. Les vieux souvenirs ainsi que les sympathiques anecdotes racontées pour la circonstance n'ont pas laissé insensibles les invités du jour. Usant d'un style irréprochable et avant même d'évoquer la naissance de la JSMT à l'orée des années 1940, Amar Belkhodja devait remonter jusqu'aux années 1926, date de la création de l'Union sportive musulmane de Tiaret (USMT).
Le conférencier devait fidèlement retracer l'historique d'Ezzarga depuis ses fondateurs, les frères Aït Abderrahim et les frères Skander, jusqu'à la génération des frères Guitoune, des frères Belarbi, les frères Mhenni Tahar Benferhat, le regretté Krimo et le fameux trio des frères Banus, pour ne citer que ceux-là. A noter que cette rencontre, jugée très intéressante de l'avis de tous, n'est que le prélude à d'autres initiatives qui seront programmées au même endroit et qui devraient toucher aussi bien le sport dans ses diverses disciplines que d'autres domaines relevant de la culture, de l'art et de l'histoire.
Par Mourad Benameur
le soir d'algerie
Transmise en direct sur les ondes de la radio locale, cette louable et première initiative du genre a suscité un engouement des plus particuliers parmi les invités, d'autant que le conférencier a abordé le sujet depuis des ères aussi lointaines que la création du club. Le silence assourdissant qui planait dans la salle dénotait, si besoin est, de l'attention que prêtaient lesTiaretis à l'histoire de leur club, et plus particulièrement les joueurs des années 80, tels Zaoui, Benzineb, Adjaoui Gharbi, venus nombreux enrichir leurs connaissances et s'inspirer de leurs aînés. Les témoignages de Bouabdelli Mohamed et de Chaouch Ferhat sur la résistance et les sacrifices auxquels s'adonnaient les Bleu- Blanc de l'époque ont laissé place à une émotion indescriptible, forçant ainsi les uns et les autres à plonger dans une réminiscence sans précédent. Les vieux souvenirs ainsi que les sympathiques anecdotes racontées pour la circonstance n'ont pas laissé insensibles les invités du jour. Usant d'un style irréprochable et avant même d'évoquer la naissance de la JSMT à l'orée des années 1940, Amar Belkhodja devait remonter jusqu'aux années 1926, date de la création de l'Union sportive musulmane de Tiaret (USMT).
Le conférencier devait fidèlement retracer l'historique d'Ezzarga depuis ses fondateurs, les frères Aït Abderrahim et les frères Skander, jusqu'à la génération des frères Guitoune, des frères Belarbi, les frères Mhenni Tahar Benferhat, le regretté Krimo et le fameux trio des frères Banus, pour ne citer que ceux-là. A noter que cette rencontre, jugée très intéressante de l'avis de tous, n'est que le prélude à d'autres initiatives qui seront programmées au même endroit et qui devraient toucher aussi bien le sport dans ses diverses disciplines que d'autres domaines relevant de la culture, de l'art et de l'histoire.
Par Mourad Benameur
le soir d'algerie
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