La nécessité d’impliquer les structures des jeunes dans la prévention contre la violence a été largement soulignée mardi à Tissemsilt.
Lors d’une conférence sur la violence, l’universitaire de Tiaret et chercheur en psychologie sociale, Dr Mohamed Akel a mis l’accent sur le rôle qui devraient jouer les structures des jeunes dans la prévention contre la violence à travers des ateliers d’arts, des activités récréatives, scientifiques et sportives.
Le conférencier a cité, dans ce sens, les maisons de jeunes, les complexes sportifs de proximité, les salles polyvalentes, les auberges, insistant sur les activités, les initiatives et la sensibilisation contre ce phénomène.
Il a souligné que ces établissements doivent s’adapter à la réalité du jeune qui vit dans un monde virtuel à travers les réseaux sociaux, proposant d’adopter des actions de sensibilisation dans ce sens.
Selon M. Akel, la violence en milieu des jeunes est provoquée notamment, par des facteurs sociaux, dont le chômage et le manque d’activités sociales en raison de la rareté des organisations.
Initiée par la maison de jeunes Boulis Ameur de Tissemsilt dans le cadre de la journée mondiale de la non violence, cette conférence a ciblé des adhérents de structures juvéniles et des représentants d’associations.
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