Les habitants des villes subissent le calvaire sonore des nuisances qui commence dès 16 heures, pour se prolonger toute la nuit, qui au final se transforme en tapage nocturne sans que les autorités concernées n’interviennent pour réglementer ce genre de nocivités que l’on fait subir aux citoyens.
Entre temps, les gens sur les nerfs dénoncent cet état de fait animé par les fêtards, ce qui est dangereux pour leur santé, alors que d’un autre côté la constitution garantie la tranquillité au citoyen, et la moindre des choses, c’est que la jeunesse se doit d’observer un peu de civisme.
Contrairement à cela, les jeunes s’exhibant dans des véhicules hautes gammes et motos de grosses cylindrées perturbent la quiétude de toute une population. Malheureusement, souvent la situation se complique, puisqu’elle atteint le seuil intolérable.
Pour rappel, le décret exécutif n° 93/184 du 27 juillet 1993 réglemente l’émission des bruits, où l’on peut lire dans son article 2 qui stipule ‘’que les niveaux sonores maximum admis dans les zones d’habitation et dans les voies et les lieux publics ou privés sont de 70 décibels (6 à 22).’’
Autres nuisances, également les mariages sont célébrés en nombre sans aucun respect pour la loi, puisque leurs machines infernales diffusent toutes sortes de musiques assourdissantes de 21 heures à 6 heures du matin sans pour autant prendre en compte la présence de malades dans les alentours, ou autre.
Même les muezzins ne sont pas respectés. Nos mariages sont aujourd’hui un dérangement pour tout le monde y compris les animaux qui vivent dans les arbres de la ville, dérangés par les bruits des pétards lancés en l’air.
Espérons que nos élus prendront les mesures qui s’imposent, afin de réglementer les mariages comme auparavant, dans l’ancien temps, où les musiques du mariage étaient autorisées jusqu’à minuit.
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