Selon le président de l’UPRA Hamra, M. Ahmed Ayachi, « de ce patrimoine naturel et génétique, il ne subsiste aujourd’hui que cinq principaux noyaux de la Hamra en Algérie. Ils se limitent à Ain El Hadjar (station ITELV) et Sidi Ahmed (chez un éleveur privé) dans la wilaya de Saida ainsi qu’à Ain Ben Khelil dans la wilaya de Naâma (au sein d’une unité de l’ORVO et chez deux éleveurs privés). Actuellement, sur les 27 millions de têtes, estimés officiellement pour le cheptel national ovin, l’effectif de mouton apparenté à la race Hamra ne dépasse pas les 250.000 sujets (soit moins de 1%), tandis que sur le plan génétique, pas plus de 1000 têtes de race pure sont répertoriées à travers l’ensemble du territoire national.
Ce qui constitue un risque d’extinction imminent de la race ». Nos voisins marocains ont réussi à labelliser cette race qu’ils destinent pour l’exportation......
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