L'exportation est un mot à la mode en Algérie, ces dernières années. Tout le monde s'y met, même l'Office national d'élevage équin et de camélidés de Tiaret.
Cet office espère, en effet, booster la production du «haras» Chaouchoua pour atteindre 300 chevaux et exporter un grand nombre.
Ce centre d'élevage a été fondé en 1877 durant l'époque coloniale française à des fins militaires. Le centre équin de Chaouchoua aspire, en effet, à un rôle leader dans l'élevage et production du pur- sang arabe et cheval barbe.
Ce centre, le plus ancien en Afrique, a acquis une renommée internationale pour ses efforts de préservation et de développement des espèces de pur-sang arabes et cheval barbe, exportés vers de nombreux pays dont la France, la Russie, l'Italie, l'Allemagne et le Brésil et offerts comme cadeaux à des présidents et des chanceliers.
L'Expressiondz
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