La rentrée scolaire s’est déroulée dans des conditions acceptables à Tiaret et ses environs les plus proches, aussi bien dans les communes que dans les daïras. Les responsables locaux n’ont pas lésiné sur les moyens, sachant que le premier responsable du secteur, en l’occurrence Madame la Ministre, a rappelé à l’ordre tout retardataire et au besoin à sévir à tout manquement.
Mais, qu’en est-il de l’arrière-pays et des zones rurales les plus éloignées du chef-lieu de wilaya. Scolarité, disponibilité de place, cantine, l’effectif d’enseignant, disponibilité du manuel scolaire, chevauchement de niveau… toutes ces questions ont-elles trouvé des réponses ? Il y a aussi, et surtout, le transport scolaire, qui reste un véritable handicap et un cauchemar pour les enfants scolarisés dans ces zones éloignées, voire déshéritées.
Ce qui les prive d’une scolarité normale et ne leur offre pas les mêmes chances qu’à leurs camarades des villes, des villages et autres cités. Ici et là, des efforts ont été consentis en la matière comme dans les environs de Madena, Rosfa, Meziraa, Touillet, Sidi Mostfa, Merzoudane,… La réalisation de nouvelles routes goudronnées ont permis aux bus, notamment ceux de la solidarité, de pouvoir sillonner les zones les plus recluses qui n’étaient pas dans un passé récent accessibles.
Mais ce n’est pas le cas pour de nombreuses autres régionsde Diara Ain kermès. A titre de l’exemple de la commune de Madena de Rosfa , 08 localités, dont certaines sont réellement en souffrance, plus particulièrement Tirsine , Zarzour ou encore Sidi benali, où deux écoles existent, certes, comme à la Région Safen d’ailleurs, mais l’école, autant la bâtisse que les salles de classe sont dans un état qui nécessite restauration.
La majorité des enfants scolarisés habitent loin de l’axe routier et certains d’entre eux nous disent qu’ils sont obligés de se lever très tôt pour ne pas rater le bus.
Lorsqu’il neige ils arrêtent l’école. La localité ne possède qu’un bus fonctionnel, sachant que beaucoup d’autocars distribués dans le cadre de la solidarité sont déjà hors service. Les opinions divergent, on parle de la mauvaise qualité des véhicules, d’une surexploitation des bus, qui seraient utilisés pour d’autres motifs que le transport scolaire.
Le transport peut être l’arbre qui cache la forêt, puisque d’autres entraves et obstacles surgissent dès que l’on invoque la scolarité en milieu rural, et même dans certaines régions, qu’on ne peut qualifier de défavorisées et malgré les nettes améliorations apportées par les responsables du secteur.
Les enseignants affectés dans ces zones refusent souvent de rejoindre leur poste, ce qui oblige la direction de l’enseignement à désigner des remplaçants qui ne sont pas forcément spécialistes dans la matière enseignée. Un autre problème dont les répercussions se feront sentir des années plus tard.
Ce qui les prive d’une scolarité normale et ne leur offre pas les mêmes chances qu’à leurs camarades des villes, des villages et autres cités. Ici et là, des efforts ont été consentis en la matière comme dans les environs de Madena, Rosfa, Meziraa, Touillet, Sidi Mostfa, Merzoudane,… La réalisation de nouvelles routes goudronnées ont permis aux bus, notamment ceux de la solidarité, de pouvoir sillonner les zones les plus recluses qui n’étaient pas dans un passé récent accessibles.
Mais ce n’est pas le cas pour de nombreuses autres régionsde Diara Ain kermès. A titre de l’exemple de la commune de Madena de Rosfa , 08 localités, dont certaines sont réellement en souffrance, plus particulièrement Tirsine , Zarzour ou encore Sidi benali, où deux écoles existent, certes, comme à la Région Safen d’ailleurs, mais l’école, autant la bâtisse que les salles de classe sont dans un état qui nécessite restauration.
La majorité des enfants scolarisés habitent loin de l’axe routier et certains d’entre eux nous disent qu’ils sont obligés de se lever très tôt pour ne pas rater le bus.
Lorsqu’il neige ils arrêtent l’école. La localité ne possède qu’un bus fonctionnel, sachant que beaucoup d’autocars distribués dans le cadre de la solidarité sont déjà hors service. Les opinions divergent, on parle de la mauvaise qualité des véhicules, d’une surexploitation des bus, qui seraient utilisés pour d’autres motifs que le transport scolaire.
Le transport peut être l’arbre qui cache la forêt, puisque d’autres entraves et obstacles surgissent dès que l’on invoque la scolarité en milieu rural, et même dans certaines régions, qu’on ne peut qualifier de défavorisées et malgré les nettes améliorations apportées par les responsables du secteur.
Les enseignants affectés dans ces zones refusent souvent de rejoindre leur poste, ce qui oblige la direction de l’enseignement à désigner des remplaçants qui ne sont pas forcément spécialistes dans la matière enseignée. Un autre problème dont les répercussions se feront sentir des années plus tard.
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