Le centre équin de Chaouchoua, de la wilaya de Tiaret, retenu pour abriter une partie des activités du Salon national du cheval qui s'ouvrira aujourd'hui, aspire à un rôle leader dans l'élevage et la production du pur-sang arabe et du cheval barbe.
Le plus ancien en Afrique, ce centre a acquis une renommée internationale pour ses efforts de préservation et de développement des espèces de pur-sang arabe et cheval barbe, exportés vers de nombreux pays dont la France, la Russie, l'Italie, l'Allemagne et le Brésil, et offerts comme cadeaux à des présidents et des chancelleries, selon la direction des services agricoles de la wilaya. Classé monument national historique et touristique en 1999, ce centre s'étend sur plus de 804 hectares et dispose de 239 chevaux pur-sangs arabes et barbes pris en charge par 69 travailleurs.
Parmi les principales missions confiées au centre, la préservation des sources génétiques nationales du pur-sang arabe et cheval barbe et l'amélioration des races, selon la même source qui a indiqué que cette jumenterie dote de telles montures des instances et des clubs d'équitation du pays, en plus de leur exportation motivée par leurs performances (rapidité, endurance ...) dans les compétitions équestres.
Le haras de Chaouchoua œuvre à réaliser une autosuffisance en fourrage produit au niveau de la ferme relevant du centre dont la production a atteint 9000 quintaux en 2014. Toutefois, il est confronté, ces dernières années, à des difficultés financières à cause du recours des éleveurs et de clubs équestres à l'importation de chevaux, notamment de courses au détriment du produit national, selon la DSA. Le centre d'élevage équin de Chaouchoua compte actuellement 239 chevaux dont 128 pur -sangs arabes, 63 barbes, 21 arabes barbes et autres chevaux de croisement arabo-anglais ou anglo-barbe et de race française. Les responsables espèrent réaménager des structures et équipements d'élevage pour accroître ses capacités productives.
Une étude a été réalisée dans ce sens, selon la direction du centre.
Le directeur de l'Office national d'élevage équin et de camélidés de la wilaya, Mounir Zerhouni, a évoqué la possibilité de revoir à la hausse la production du haras pour atteindre 300 chevaux et d'en exporter un grand nombre. Ce centre d'élevage a été fondé en 1877 durant l'époque coloniale française à des fins militaires.
Le plus ancien en Afrique, ce centre a acquis une renommée internationale pour ses efforts de préservation et de développement des espèces de pur-sang arabe et cheval barbe, exportés vers de nombreux pays dont la France, la Russie, l'Italie, l'Allemagne et le Brésil, et offerts comme cadeaux à des présidents et des chancelleries, selon la direction des services agricoles de la wilaya. Classé monument national historique et touristique en 1999, ce centre s'étend sur plus de 804 hectares et dispose de 239 chevaux pur-sangs arabes et barbes pris en charge par 69 travailleurs.
Parmi les principales missions confiées au centre, la préservation des sources génétiques nationales du pur-sang arabe et cheval barbe et l'amélioration des races, selon la même source qui a indiqué que cette jumenterie dote de telles montures des instances et des clubs d'équitation du pays, en plus de leur exportation motivée par leurs performances (rapidité, endurance ...) dans les compétitions équestres.
Le haras de Chaouchoua œuvre à réaliser une autosuffisance en fourrage produit au niveau de la ferme relevant du centre dont la production a atteint 9000 quintaux en 2014. Toutefois, il est confronté, ces dernières années, à des difficultés financières à cause du recours des éleveurs et de clubs équestres à l'importation de chevaux, notamment de courses au détriment du produit national, selon la DSA. Le centre d'élevage équin de Chaouchoua compte actuellement 239 chevaux dont 128 pur -sangs arabes, 63 barbes, 21 arabes barbes et autres chevaux de croisement arabo-anglais ou anglo-barbe et de race française. Les responsables espèrent réaménager des structures et équipements d'élevage pour accroître ses capacités productives.
Une étude a été réalisée dans ce sens, selon la direction du centre.
Le directeur de l'Office national d'élevage équin et de camélidés de la wilaya, Mounir Zerhouni, a évoqué la possibilité de revoir à la hausse la production du haras pour atteindre 300 chevaux et d'en exporter un grand nombre. Ce centre d'élevage a été fondé en 1877 durant l'époque coloniale française à des fins militaires.
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