Le projet de la cimenterie de Aïn Kermès dans la wilaya de Tiaret qui devait être confié à une société mixte Algéro- Québécoise dénommé «SOALKA», au titre de la promotion de l’investissement dans la région, est finalement tombé à l’eau pour susciter l’intéressement d’une autre entreprise belge, la New Balon Leveque East (NBLE), en l’occurrence, a-t-on appris de sources sûres.
Tout récemment une délégation représentant ladite société a été dépêchée à Aïn Kermès, par l’Agence nationale du patrimoine minier où elle a visité le site de ce projet dont la superficie s’étend sur 153 hectares.
Lors de leur prospection, les experts belges ont eu à prélever sur place des échantillons de calcaire et d’argile non sans afficher d’ores et déjà leur satisfecit quant à l’aboutissement éventuel de ce projet tant attendu par la population locale du fait de son impact positif au double plan social et économique plus particulièrement en matière de résorption du taux de chômage, sachant que la localité de Aïn Kermès rayonne sur cinq communes déshéritées où les opportunités d’emploi sont quasiment insignifiantes. Les mêmes sources précisent que la concrétisation de ce projet devrait générer dans une première étape quelque 500 postes de travail directs et 500 autres indirects. Il y a lieu de rappeler dans le même ordre d’idées que la daïra de Aïn Kermès a accueilli dernièrement le président-directeur général de Naftal venu en prospection en vue de la réalisation d’un dépôt régional de carburants, un projet vraisemblablement appuyé par le passage de la voie ferroviaire reliant la wilaya de Relizane à celle de Saïda, une opération dont le taux d’avancement des travaux de terrassement est à 30% seulement, en raison des intempéries qui continuent à sévir dans la région.
Mourad Benameur
Le soir d'algerie
Tout récemment une délégation représentant ladite société a été dépêchée à Aïn Kermès, par l’Agence nationale du patrimoine minier où elle a visité le site de ce projet dont la superficie s’étend sur 153 hectares.
Lors de leur prospection, les experts belges ont eu à prélever sur place des échantillons de calcaire et d’argile non sans afficher d’ores et déjà leur satisfecit quant à l’aboutissement éventuel de ce projet tant attendu par la population locale du fait de son impact positif au double plan social et économique plus particulièrement en matière de résorption du taux de chômage, sachant que la localité de Aïn Kermès rayonne sur cinq communes déshéritées où les opportunités d’emploi sont quasiment insignifiantes. Les mêmes sources précisent que la concrétisation de ce projet devrait générer dans une première étape quelque 500 postes de travail directs et 500 autres indirects. Il y a lieu de rappeler dans le même ordre d’idées que la daïra de Aïn Kermès a accueilli dernièrement le président-directeur général de Naftal venu en prospection en vue de la réalisation d’un dépôt régional de carburants, un projet vraisemblablement appuyé par le passage de la voie ferroviaire reliant la wilaya de Relizane à celle de Saïda, une opération dont le taux d’avancement des travaux de terrassement est à 30% seulement, en raison des intempéries qui continuent à sévir dans la région.
Mourad Benameur
Le soir d'algerie
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