Avec cet été exceptionnel marqué par une canicule insupportable, la wilaya de Tiaret comme tant d’autres à travers le territoire national souffre depuis ces derniers jours d’une chaleur insupportable voire étouffante et dont les conséquences sont multiples non seulement sur la santé de l’individu, mais aussi sur la faune et la flore, les cultures maraîchères endommagées par les vents de sable.
A commencer entre autres par le changement climatique, les incendies, qui font des ravages, outre la désertification marquée par une avancée certaine du sable, dans la région et particulièrement dans les rurales hurbaine de la partie extrême ouest sud de Tiaret à l’exemple des villages et autres faubourgs comme Rosfa, Sidi Abderrahmane, Ain Kermès, Tousnina, Faïdja et Médrissa .bien d’autres régions victimes cette année d’une sécheresse qui menace le cheptel selon certains éleveurs.
De plus, les activités culturelles, intellectuelles, artistiques et autres sportives étant au repos depuis très longtemps. ni bibliothèque pour enfants ,ni animation musicale ni espace de loisir pour enfants comme piscine ou manage ects......
Ajoutons à cela les records de chaleur enregistrés depuis les derniers jours du mois sacré du ramadan jusqu’à ce jour et qui s’abattent sur ces zones , rendant une situation difficile pour ceux qui ne sont pas habitués aux fortes canicules.
Devant ce climat très pénible à supporter les services de la santé sont quasiment en alerte, même si quelquefois les moyens ne sont pas toujours disponibles, et rappellent les consignes à respecter durant cette période, interpellant surtout les parents de prendre soin de leurs enfants. Ceux qui disposent de moyens, n’attendent pas, ils se trouvent déjà sous d’autres cieux plus cléments en température, ou au bord de la mer.
La ville vit au rythme de la chaleur marquée par un épisode caniculaire, de grande intensité et d’une durée exceptionnelle, facteurs qui obligent les populations à demeurer chez elles, à l’abri avec des climatiseurs, rendant la ville calme, et sans grande circulation. Loin des plages, les jeunes se rabattent généralement sur les quelques rares piscines implantées au niveau des grands centres urbains et submergées pour se rafraîchir à défaut d’apprendre à nager puisque l’espace est trop exigu pour oser parler de natation. Ainsi, dans ces contrées, les journées et les nuits se ressemblent.
Dès le lever du soleil, toute la région est plongée dans une torpeur quasi totale imposée par la chaleur alors que les plus petits jettent leur dévolu, soit dans les jets d’eau de la ville ou sur les dangereuses retenues colinéaires et autres fosses d’irrigation.
Dans les régions rurales, les vacances pour beaucoup de gens sont dures devant le manque de moyens, surtout pour les écoliers qui ne trouvent pas où aller, pendant cette période de trois mois.
Dans les régions rurales, cette communauté infantile, n’a le choix que pour jouer dans les rues, dans les oueds pollués lorsqu’ils existent ou devant le petit écran.
Les journées s’allongent, le temps s’étire, les rues de la ville se vident, les lieux présentent un aspect différent, et faute d’évasion, chacun grignote le temps à sa manière, à son rythme, selon son inspiration et son humeur.
Sous le fardeau de la chaleur, les seuls poumons d’oxygène semblent suffoquer, lorsque les incendies les ont épargnés. La jeunesse issue des régions rurales reste chaque été désarçonnée faute de loisirs, et ne sait à quel saint se vouer, sauf de fréquenter des lieux sous l’ombre d’un arbre, dans une prairie ou dans un cybercafé.
Cette situation mérite un retour vers la prise en charge de la jeunesse de ces communes de la wilaya notamment durant les vacances d’été. Malgré tous les efforts déployés par les pouvoirs publics au profit de certains secteurs vitaux, ces municipalités demeurent malheureusement en manque flagrant de commodités.
De nombreuses municipalités rurales, sinon toutes, se livrent à un laisser-aller envers cette frange de la société soumise à la loi de la marginalisation. L’on déduit que la jeunesse est carrément ignorée, surtout dans les localités steppiques précitées menacées à plus d’un titre par le chômage, l’oisiveté et le sable qui est à leurs portes.
Les échos qui nous parviennent, de ces zones cette partie de la wilaya de Tiaret qui soufre de désertification culturel , font apparaître une jeunesse qui vit le calvaire à chaque saison estivale, soit un éternel recommencement.
Le paysage où ils vivaient, autrefois, envahit par le cheptel, est menacé par l’avancée du sable et les politiques de boisement, semble ne pas prendre l’allure escomptée.
La vue de tourbillons actionnés par le vent, montre à quel point le danger menace non seulement ces régions mais aussi toute la wilaya,
Pour les enfants, l’été, est une saison marquée par de longues journées, à vivre souvent en groupes exposés aux dangers de la rue ou des coups de soleil : conséquences d’une misère qui règne sur ces lieux.
Et l’on ne peut résister à la vue de ces regards, où une sorte de souffrance se dégage des visages. L’été est dur devant le calvaire qu’endure cette jeunesse.
Tous les moyens sont bons aux risques et périls, pour se procurer un rafraîchissement hydrique et les baignades dans les rivières, les lacs, les barrages et autres retenues sont frauduleusement entreprises malgré qu’elles soient interdites, en raison des nombreux dangers qu’elles présentent, pour ceux qui les fréquentent…
En effet, les barrages et les oueds sont remplis de boue ce qui peut rendre la nage très difficile. De même, la variation de la profondeur d’un endroit à un autre peut également être à l’origine des noyades.
Enfin, comme à chaque année, l’été est donc bien dur dans ces zones rurales qui ne disposent pas de piscines ou d’infrastructures adéquates pour passer paisiblement son temps.
Les élus doivent penser a remédier à cette situation qui s’éternise, il y va du devenir psychologique des générations futures.
A commencer entre autres par le changement climatique, les incendies, qui font des ravages, outre la désertification marquée par une avancée certaine du sable, dans la région et particulièrement dans les rurales hurbaine de la partie extrême ouest sud de Tiaret à l’exemple des villages et autres faubourgs comme Rosfa, Sidi Abderrahmane, Ain Kermès, Tousnina, Faïdja et Médrissa .bien d’autres régions victimes cette année d’une sécheresse qui menace le cheptel selon certains éleveurs.
De plus, les activités culturelles, intellectuelles, artistiques et autres sportives étant au repos depuis très longtemps. ni bibliothèque pour enfants ,ni animation musicale ni espace de loisir pour enfants comme piscine ou manage ects......
Ajoutons à cela les records de chaleur enregistrés depuis les derniers jours du mois sacré du ramadan jusqu’à ce jour et qui s’abattent sur ces zones , rendant une situation difficile pour ceux qui ne sont pas habitués aux fortes canicules.
Devant ce climat très pénible à supporter les services de la santé sont quasiment en alerte, même si quelquefois les moyens ne sont pas toujours disponibles, et rappellent les consignes à respecter durant cette période, interpellant surtout les parents de prendre soin de leurs enfants. Ceux qui disposent de moyens, n’attendent pas, ils se trouvent déjà sous d’autres cieux plus cléments en température, ou au bord de la mer.
La ville vit au rythme de la chaleur marquée par un épisode caniculaire, de grande intensité et d’une durée exceptionnelle, facteurs qui obligent les populations à demeurer chez elles, à l’abri avec des climatiseurs, rendant la ville calme, et sans grande circulation. Loin des plages, les jeunes se rabattent généralement sur les quelques rares piscines implantées au niveau des grands centres urbains et submergées pour se rafraîchir à défaut d’apprendre à nager puisque l’espace est trop exigu pour oser parler de natation. Ainsi, dans ces contrées, les journées et les nuits se ressemblent.
Dès le lever du soleil, toute la région est plongée dans une torpeur quasi totale imposée par la chaleur alors que les plus petits jettent leur dévolu, soit dans les jets d’eau de la ville ou sur les dangereuses retenues colinéaires et autres fosses d’irrigation.
Dans les régions rurales, les vacances pour beaucoup de gens sont dures devant le manque de moyens, surtout pour les écoliers qui ne trouvent pas où aller, pendant cette période de trois mois.
Dans les régions rurales, cette communauté infantile, n’a le choix que pour jouer dans les rues, dans les oueds pollués lorsqu’ils existent ou devant le petit écran.
Les journées s’allongent, le temps s’étire, les rues de la ville se vident, les lieux présentent un aspect différent, et faute d’évasion, chacun grignote le temps à sa manière, à son rythme, selon son inspiration et son humeur.
Sous le fardeau de la chaleur, les seuls poumons d’oxygène semblent suffoquer, lorsque les incendies les ont épargnés. La jeunesse issue des régions rurales reste chaque été désarçonnée faute de loisirs, et ne sait à quel saint se vouer, sauf de fréquenter des lieux sous l’ombre d’un arbre, dans une prairie ou dans un cybercafé.
Cette situation mérite un retour vers la prise en charge de la jeunesse de ces communes de la wilaya notamment durant les vacances d’été. Malgré tous les efforts déployés par les pouvoirs publics au profit de certains secteurs vitaux, ces municipalités demeurent malheureusement en manque flagrant de commodités.
De nombreuses municipalités rurales, sinon toutes, se livrent à un laisser-aller envers cette frange de la société soumise à la loi de la marginalisation. L’on déduit que la jeunesse est carrément ignorée, surtout dans les localités steppiques précitées menacées à plus d’un titre par le chômage, l’oisiveté et le sable qui est à leurs portes.
Les échos qui nous parviennent, de ces zones cette partie de la wilaya de Tiaret qui soufre de désertification culturel , font apparaître une jeunesse qui vit le calvaire à chaque saison estivale, soit un éternel recommencement.
Le paysage où ils vivaient, autrefois, envahit par le cheptel, est menacé par l’avancée du sable et les politiques de boisement, semble ne pas prendre l’allure escomptée.
La vue de tourbillons actionnés par le vent, montre à quel point le danger menace non seulement ces régions mais aussi toute la wilaya,
Pour les enfants, l’été, est une saison marquée par de longues journées, à vivre souvent en groupes exposés aux dangers de la rue ou des coups de soleil : conséquences d’une misère qui règne sur ces lieux.
Et l’on ne peut résister à la vue de ces regards, où une sorte de souffrance se dégage des visages. L’été est dur devant le calvaire qu’endure cette jeunesse.
Tous les moyens sont bons aux risques et périls, pour se procurer un rafraîchissement hydrique et les baignades dans les rivières, les lacs, les barrages et autres retenues sont frauduleusement entreprises malgré qu’elles soient interdites, en raison des nombreux dangers qu’elles présentent, pour ceux qui les fréquentent…
En effet, les barrages et les oueds sont remplis de boue ce qui peut rendre la nage très difficile. De même, la variation de la profondeur d’un endroit à un autre peut également être à l’origine des noyades.
Enfin, comme à chaque année, l’été est donc bien dur dans ces zones rurales qui ne disposent pas de piscines ou d’infrastructures adéquates pour passer paisiblement son temps.
Les élus doivent penser a remédier à cette situation qui s’éternise, il y va du devenir psychologique des générations futures.
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