Les populations, dans les coins les plus reculés de la wilaya, restent très attachées à cette célébration, en espérant profusion et prospérité pour la nouvelle année.
Comme chaque année, les Algériens, à l’instar des autres contrées de l’Afrique du Nord, vont célébrer, aujourd’hui, le nouvel an berbère Yennayer 2966, une coutume immémoriale impérissable. Une tradition millénaire qui marque le passage d’une époque à une autre et un legs antique qui a croisé des siècles pour continuer, encore, à être célébré.
À Tiaret, cela fait plusieurs jours que les préparatifs ont commencé, avec l’apparition des étalages largement garnis des denrées nécessaires à ce rite, comme les sucreries, les arachides, les amandes, les légumes secs. Les populations, dans les coins les plus reculés de la wilaya, restent très attachées à cette célébration, en espérant profusion et prospérité pour la nouvelle année.
À Tiaret, cela fait plusieurs jours que les préparatifs ont commencé, avec l’apparition des étalages largement garnis des denrées nécessaires à ce rite, comme les sucreries, les arachides, les amandes, les légumes secs. Les populations, dans les coins les plus reculés de la wilaya, restent très attachées à cette célébration, en espérant profusion et prospérité pour la nouvelle année.
La tradition va encore plus loin avec la symbolique du bannissement de certains mets acidulés, “signe de mauvais présages pour la nouvelle année, de récolte catastrophique”. Mais plus que tout, la célébration de Yennayer permet, à l’instar des autres fêtes religieuses, les retrouvailles entre les membres d’une famille qui partagent ensemble le repas préparé pour la circonstance.
R. SALEM
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