Défier l'oubli et dépoussiérer cette page de l'histoire marquée par la terrible date du 04 décembre 1852, est plus que nécessaire cette date marque ''le début d'un calvaire sans fin qui s'est abattu sur la ville de Laghouat durant 109 ans, 4 mois et 29 jours''.
En effet il s'agit de la prise de Laghouat par les troupes coloniales françaises qui ont froidement décimé les deux tiers de la population civile de la ville de Laghouat. Sans distinction de sexe et d'âge, ces populations sans défense ont été jetées sans état d'âme, dans les puits brûlés vifs. Pis encore. Les troupes coloniales n'ont pas hésité à les attaquer par l'arme chimique redoutable (chloroforme) qui désintègre tout notamment le reste de cadavres. Une arme utilisée à des fins expérimentales Laghouat se souvient du désastre accompli par l'occupant français le 4 décembre 1852, lors de la prise de Laghouat. Cette bataille acharnée qui a opposé les autochtones aux troupes françaises, a été tellement farouche qu'elle a été qualifié de ''génocide''. Pour beaucoup de chercheurs, pas moins d'un tiers des habitants de Laghouat a été décimé.
En effet il s'agit de la prise de Laghouat par les troupes coloniales françaises qui ont froidement décimé les deux tiers de la population civile de la ville de Laghouat. Sans distinction de sexe et d'âge, ces populations sans défense ont été jetées sans état d'âme, dans les puits brûlés vifs. Pis encore. Les troupes coloniales n'ont pas hésité à les attaquer par l'arme chimique redoutable (chloroforme) qui désintègre tout notamment le reste de cadavres. Une arme utilisée à des fins expérimentales Laghouat se souvient du désastre accompli par l'occupant français le 4 décembre 1852, lors de la prise de Laghouat. Cette bataille acharnée qui a opposé les autochtones aux troupes françaises, a été tellement farouche qu'elle a été qualifié de ''génocide''. Pour beaucoup de chercheurs, pas moins d'un tiers des habitants de Laghouat a été décimé.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire