Dans l’imposante maison kabyle installée à l’occasion de l’exposition et qui a séduit plus d’un, une femme originaire de Beni Douala exerce dans la poterie traditionnelle. Elle nous confie qu’en dépit de quelques encouragements, l’Etat « ne nous donne pas assez de moyens pour relancer cette activité. Pourtant menacée de disparition », regrette-t-elle.
«J’attends depuis trois ans un local sachant que depuis toujours j’ai travaillé dans ma propre maison. Sans oublier le four qu'on ne m'a pas encore livré", regrette cette responsable d'un petit établissement de poterie traditionnelle et céramique. Elle détaille: «Maintenant comme toujours, je vais à la forêt pour ramener du bois qui d’ailleurs se fait de plus en plus rare à cause des feux de forêts».
Originaire de Maatkas, une jeune femme habillée en robe kabyle multicolore portant des bijoux de la région se rapproche de nous pour vanter ses acquis en matière de poterie. «Je m’y connais en symboles. J’aide ma mère qui elle-même fait de la poterie», ajoute-t-elle. Mais, elle avoue que la carte d’artisan « qu’on nous donne l’Etat est tout de même chère, elle s’élève à 30 000 da».
Djelfa est présente à ce salon avec ses Kechabias et ses tapis. Dans la Kheima de Ouled Naïl de la wilaya de Djelfa, nous rencontrons Fatiha, présidente d’une association de la région, qui montrait aux visiteurs les étapes du métier à tisser. «Nous initions les jeunes filles de notre région Ain Ouassara à ce métier. Cela est important. Je dois vous dire que les filles s’y intéressent vraiment », nous dit Fatiha. Par ailleurs, nous confie-t-elle, «la matière première est tellement chère. 850 da le kilo pour ce qui est de la laine du chameau que nous ramenons d’ailleurs de loin...».
«J’attends depuis trois ans un local sachant que depuis toujours j’ai travaillé dans ma propre maison. Sans oublier le four qu'on ne m'a pas encore livré", regrette cette responsable d'un petit établissement de poterie traditionnelle et céramique. Elle détaille: «Maintenant comme toujours, je vais à la forêt pour ramener du bois qui d’ailleurs se fait de plus en plus rare à cause des feux de forêts».
Originaire de Maatkas, une jeune femme habillée en robe kabyle multicolore portant des bijoux de la région se rapproche de nous pour vanter ses acquis en matière de poterie. «Je m’y connais en symboles. J’aide ma mère qui elle-même fait de la poterie», ajoute-t-elle. Mais, elle avoue que la carte d’artisan « qu’on nous donne l’Etat est tout de même chère, elle s’élève à 30 000 da».
Djelfa est présente à ce salon avec ses Kechabias et ses tapis. Dans la Kheima de Ouled Naïl de la wilaya de Djelfa, nous rencontrons Fatiha, présidente d’une association de la région, qui montrait aux visiteurs les étapes du métier à tisser. «Nous initions les jeunes filles de notre région Ain Ouassara à ce métier. Cela est important. Je dois vous dire que les filles s’y intéressent vraiment », nous dit Fatiha. Par ailleurs, nous confie-t-elle, «la matière première est tellement chère. 850 da le kilo pour ce qui est de la laine du chameau que nous ramenons d’ailleurs de loin...».
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