ORAN - Les anciennes sources d’eau d’Oran suscitent l’intérêt des chercheurs car, elles constituent des vestiges témoignant des systèmes d’adduction et d’approvisionnement en eau des derbs de la Casbah d’Oran après l’occupation espagnole.
Sous le thème "Sur les traces des sources d’eau", l’antenne de l’office national de gestion et exploitation de biens protégés a programmé, dernièrement, dans le cadre de la célébration du mois du patrimoine, une ballade au profit des chercheurs curieux de découvrir les systèmes d’adduction et de drainage d’eau à partir de sources que recelait Oran.
Cette initiative a porté sur une visite de la ferme "Gireau", sur les hauteurs du mont de Murdjadjo, surplombant la ville. La ferme compte trois puits pour alimenter les habitants du vieux quartier de Sidi Houari jusqu’à région de Brédeah, dans la daïra de Boutlélis. Les chercheurs ont eu également à découvrir l’ancien barrage, érigé au village de Sidi Ghalem (Tafraoui), au sud de la wilaya.
La ville d’Oran compte plusieurs sources d’eau, dont "Ras El Ain" "les moulins", "la source Saint José", "Cherchara", "Ain Blal" et bien d’autres encore, qui nécessitent un intérêt particulier des autorités locales, ont estimé les chercheurs ayant pris part à cette visite et constaté l’état désastreux dans lequel se trouvent ces sources.
Pour valoriser ces sources, dont certaines coulent depuis des siècles, l’antenne précitée compte lancer une opération de nettoiement de ces sources dont celle située à Hai Sidi Houari dont le débit atteint les 90 litres/seconde.
Cette source répondait aux besoins des habitants de ce quartier séculaire, avant leur relogement, ces dernières années, à Hai Ennour et Yasmine, à l’Est d’Oran.
Des références historiques signalent que la source "Ain Blal" est considérée par les habitants d’El Kerma comme une "baraka" du Saint Patron d’Oran Sidi El Houari (1350-1439) et un don du Dieu. L’eau a jailli de cette source, suite aux supplications des habitants de la ville.
Cheikh Brahim Et-Tazi, disciple du Saint Patron Sidi El Houari a été le premier à avoir procédé à la pose de canalisations en argile pour acheminer l’eau vers les foyers, a souligné le responsable de l’antenne de l’office national de gestion et exploitation des biens protégés, Massinissa Ourabah.
Suite à l’extension de Hai Sidi Houari, premier noyau de la ville d’Oran, durant la colonisation espagnole, des systèmes d’adduction de l’eau à partir des sources anciennes ont été utilisés par le fonçage de trois puits de la ferme "Gireau", a-t-on encore expliqué.
Cette initiative a porté sur une visite de la ferme "Gireau", sur les hauteurs du mont de Murdjadjo, surplombant la ville. La ferme compte trois puits pour alimenter les habitants du vieux quartier de Sidi Houari jusqu’à région de Brédeah, dans la daïra de Boutlélis. Les chercheurs ont eu également à découvrir l’ancien barrage, érigé au village de Sidi Ghalem (Tafraoui), au sud de la wilaya.
La ville d’Oran compte plusieurs sources d’eau, dont "Ras El Ain" "les moulins", "la source Saint José", "Cherchara", "Ain Blal" et bien d’autres encore, qui nécessitent un intérêt particulier des autorités locales, ont estimé les chercheurs ayant pris part à cette visite et constaté l’état désastreux dans lequel se trouvent ces sources.
Pour valoriser ces sources, dont certaines coulent depuis des siècles, l’antenne précitée compte lancer une opération de nettoiement de ces sources dont celle située à Hai Sidi Houari dont le débit atteint les 90 litres/seconde.
Cette source répondait aux besoins des habitants de ce quartier séculaire, avant leur relogement, ces dernières années, à Hai Ennour et Yasmine, à l’Est d’Oran.
Des références historiques signalent que la source "Ain Blal" est considérée par les habitants d’El Kerma comme une "baraka" du Saint Patron d’Oran Sidi El Houari (1350-1439) et un don du Dieu. L’eau a jailli de cette source, suite aux supplications des habitants de la ville.
Cheikh Brahim Et-Tazi, disciple du Saint Patron Sidi El Houari a été le premier à avoir procédé à la pose de canalisations en argile pour acheminer l’eau vers les foyers, a souligné le responsable de l’antenne de l’office national de gestion et exploitation des biens protégés, Massinissa Ourabah.
Suite à l’extension de Hai Sidi Houari, premier noyau de la ville d’Oran, durant la colonisation espagnole, des systèmes d’adduction de l’eau à partir des sources anciennes ont été utilisés par le fonçage de trois puits de la ferme "Gireau", a-t-on encore expliqué.
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