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11/22/2016

A la saison des pluies : Les routes de Tiaret endommagées gênent la circulation



L’état de nos routes déjà bien endommagé, empire d’avantage, à la moindre des précipitations, pendant la saison des pluies et particulièrement là ou il n’y a pas d’avaloir ou que le nivellement de la chaussé est de moindre qualité.

C’est alors que les « nids de poule » apparaissent ou se creusent pour devenir de véritable « nids d’autruche » et dans certaines chaussées, ils sont un peu partout, rendant la conduite aux usagers de la route, difficile. 

Cela incombe en premier lieu à la mauvaise qualité de construction de nos routes, à la négligence dans les travaux, à l’absence ou la rareté de maintenance et à l’emprunt des chaussés par de camion avec remorques, qui font que les « nids de poule » prospèrent et deviennent un véritable problème sur nos routes en posant un problème de sécurité et constituent un potentiel danger pour l les usagers de la route véhiculés. Ils sont causés par le taux élevé d’humidité qui s’infiltre dans les fissures de la route et, tandis que la route se contracte et s’élargit, les fissures deviennent plus importantes, les trous s’agrandissent au passage des véhicules et ces mouvements endommagent la structure souterraine de la route. 

De grand efforts sont engagés par les pouvoirs publics, pour obturer, les nids de poules existants dans les rues, à grande circulation .
Cependant ce travail soit il reste à la traîne, soit s’effectue en l’absence de suivi qui mène au rafistolage expéditive et sans respect des normes de placement du bitume et gravier, comme si l’on était pressé de s’en aller des lieux, en oubliant très souvent que d’autres petits « nids de poules », ne faisant pas partie du lexique prennent naissance par la négligence dans les moyens entrepris pour corriger la situation.. 

Ce rapiéçage, permet aux automobilistes de rouler à peu près normalement jusqu’à ce qu’au même endroit, quelque temps plus temps, réapparait, un trou béant. En effet, les crevasses et autres « nids de poules », y sont légions, dans plusieurs artères des différents quartiers de la ville. 

Et rouler dans des rues ou existent ces trous peut causer beaucoup de dommages aux véhicule léger, en s’en prenant aux pneus des roues, à l’alignement et l’équilibrage de ces derniers, aux jantes, mais aussi aux suspensions et autres dégâts sur la tôle et le par brise. Il y a les nids en formation, en gestation, en escarpés ou en type vaseux: 
De par leur nombres et leur formes, l’on ne peut s’écarter de dire, que ceux là, ont un bel avenir devant eux, si l’esprit de se métamorphoser en bien et en mieux ne venait, à ne pas paraître, tel que le quartier de la cadette sur l’artère parallèle aux rails du chemin de fer. 
C’est un euphémisme grossier que de qualifier de désastre, à titre d’exemple, l’état de dégradation des supposées artères de la zone industrielle, délaissée et qui est remplie d’hommes d’affaires parmi les plus riches de la wilaya qui dépensent parfois, des fortunes pour du menu fretin, 

Dieu seul sait pour quels desseins, qui ne songent nullement à fermer ces crevasses, se trouvant à proximité de leur portes d’entrées. Quant à certain chemin communaux, de plusieurs daïras, qui ne connaissent pas encore se que le développement veut dire, il est difficile de faire 50 m sans rencontrer un groupement de nids de poules dont certain par endroits, s’étendent de long en large sur toute la chaussée. La présence de « nids de poules » sur le bitume, amène les automobilistes à inaugurer une nouvelle façon de conduire qu’il peut être amusante voire ironique de regarder depuis une voiture. 
Et à force de conduire de gauche à droite de la chausse pour éviter les « nids de poules » qui la jonchent, la conduite, même pour les conducteurs les plus expérimentés ou les plus prudents, devient dangereuse. La situation est telle que l’on a de la peine à comprendre que la DTP ou l’APC ont surement oubliée dans le recensement ces artères devant être prises en charge, celles là, sauf à vouloir enrichir les garagistes.

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